1. Quelques jours de vacances.


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Masturbation Auteur: elenamark, Source: xHamster

    ... cela avec la limite. Lorsqu’il me semble l’atteindre je ralentis et même j’arrête le temps de laisser retombé juste ce qu’il faut l’excitation. On pourrait penser que c’est une forme de masochisme, mais ce n’est pas mon avis. A chaque reprise de ma masturbation j’ai la sensation qu’une batterie interne se charge et comme c’est la troisième après- midi que je joue à ce jeu sans orgasme, je peux vous dire que la batterie est chargée à bloc.
    
    La marée est descendante, la mer c’est éloignée de quelques mètres. Je descends sur la minuscule plage qui s’est formée et vais me rafraîchir les pieds. L’eau est froide, mais je m’habitue progressivement et avance. J’ai remonté ma robe jusqu’au-dessous des fesses. Je scrute les environs, la seule âme qui vive est un goéland qui semble me regarder. Je remonte donc ma robe à la taille et avance jusqu’a avoir l’eau jusqu’en haut des cuisses. J’en profite pour rafraîchir ma chatte devenue un petit peu poisseuse. Lorsque j'entends un bruit, sens une présence, instinctivement je laisse tomber ma robe. Je me retourne brusquement, le goéland a disparu ...
    ... mais je suis seule.
    
    Bon ! Ma robe est trempée, elle me colle à la peau. Rien de bien grave si ce n’est que comme cela un large triangle brun se dessine par transparence à mon entre jambe, nul doute que je n’ai pas de culotte, nul doute non plus sur l’entretien de mon intimité. Oui je garde mes poils.
    
    Bon je reprends position sur ma serviette, ma robe va rapidement sécher je pense !
    
    Cette petite frayeur m’a refroidi et il me faudra un certain temps pour retrouver du plaisir à mes caresses.
    
    Je fais rouler mon clitoris du bout de mon majeur alors que de deux doigts de l’autre main je le maintien érigé hors de son capuchon. Je ne me pénètre que pour recueillir de mes secrétions intimes comme lubrifiant. Je retrouve l’état d’excitation d’avant ma baignade. Il me faut à nouveau arrêter pour reprendre. A chaque fois je m’approche de plus en plus « dangereusement de la limite, jusqu’a sentir que je l’ai dépassée. Je m’active frénétiquement sur mon clito, sens le feu envahir mon ventre et l’énergie accumulée par tant de retenue se libère violemment dans tout mon corps. Je joui ! 
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