Jenna se joue au poker (6)
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... Nous pouvons la ligoter, la saucissonner et la descendre comme un paquet, comme un vulgaire tapis. Ça nous prendra un plus de temps mais peu importe… et puis Rolande (la cuisinière) sait à merveille attacher un rôti et elle saura s’en occuper… avec sa « douceur » légendaire ! Franchement, je ne nous conseille pas Jenna. »
Jenna, convaincue par ces arguments – et ayant jaugé cette perspective inquiétante au vu de la cuisinière épaisse et mal commode, se calme et se laisse mener. Pressée par devant et par derrière elle descend tant bien que mal les degrés qui mènent à la cave.
En bas, c’est une vraie cave de château : on y sent la fraîcheur – disons plutôt le froid – et l’humidité, et même l’odeur de moisi et de salpêtre. Les portes sont basses, les bases des murs sont en pierre, le reste en briques.
Jenna est emmenée jusque devant une porte en bois clair. On ouvre la porte et on pousse la belle brune en dedans. La pièce est grande, claire (les murs de briques sont blanchis à la chaux ou bien ont été peints), le plafond est haut et vouté.
Elle n’a pas vu tout de suite qu’une chaîne pend du plafond. Il y a également un cheval d’arçons, une croix de Saint André contre une des murailles.
On passe un bracelet de cuir à chacun de ses poignets et chacun des mousquetons se referme sur l’extrémité de la grosse chaîne.
Un bruit de métal et de mécanisme la fait sursauter : Jean-Edouard a actionné le treuil et les bras de Jenna s’élèvent, bientôt tirés vers le ...
... haut.
En un clin d’œil elle se retrouve suspendue par les bras, tendus au maximum au-dessus de sa tête.
Notre compère actionne encore un peu le moteur électrique et la voilà maintenant sur la pointe de ses bottes, oscillant pour ne pas perdre son équilibre.
Sa jupe, dans cette posture, est relevée au maximum et on voit la moitié de ses cuisses gainées par les bas.
« - Ah, elle n’a pas l’air maligne, comme ça, la mauvaise joueuse ! » dit Lionel
— Moi je dirais qu’elle l’a cherché » ajoute Jean-Edouard.
« - C’est sûr » dis-je, « elle savait très bien qu’en revenant elle risquait de perdre, et de ne nous êtes redevable de sa dette…
— Ce que je veux dire » continue Jean-Edouard, poursuivant « c’est qu’à mon avis elle a envie de ce traitement… sinon elle ne serait pas revenue ! »
Jenna proteste mollement :
« - Non, ça n’est pas vrai, je suis une femme honnête, respectable… et mariée.
— Et ça ne le dérangerait pas, ton mari, de te savoir ainsi, suspendue comme un jambon, livrée à six hommes qui vont te passer à la casserole, te faire subir les derniers outrages, les pires traitements, les plus humiliants… ceux qu’on réserve à une vulgaire pute du port ?!
— Mais non » répond à sa place Lionel, « Madame ne le racontera pas, tu penses. Elle réalise, l’air de rien, ses fantasmes les plus secrets, les plus honteux, et compte bien sur notre discrétion…
— Et nous nous comptons sur ses penchants pour la soumission, sur son besoin de jouir d’humiliation et de ...