1. Initiation involontaire à la débauche d'un couple ordinaire


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fhh, couleurs, extracon, inconnu, caférestau, fsoumise, double, Partouze / Groupe attache, totalsexe, Auteur: Vitalac, Source: Revebebe

    ... pour te prouver qu’elle ne retirera pas ses mains. Si je perds, je t’offre le repas et le champagne.
    
    Je finis par accepter, j’étais à la fois excité et apeuré, mais je suivis Bertrand jusqu’à cette petite cachette. Là, confortablement assis sur un tabouret, j’attendais avec Bertrand de voir apparaître les deux mains de la femme venue s’amuser, comme disait Bertrand. Celui-ci avait passé l’info au serveur de « s’occuper » du salon numéro 7, celui de la femme seule…
    
    — Sept, c’est marrant, dis-je à Bertrand. C’est mon chiffre porte-bonheur.
    
    Les voix étaient déformées par l’épaisseur de l’isolant, mais nous comprenions ce qui se disait, le serveur invitait la femme à glisser ses mains dans les trous gantés pour y découvrir une surprise. Il avait un certain charisme qui mettait en confiance…
    
    Quelle fut ma joie lorsque je vis les mains apparaître. Bertrand m’ordonna de les saisir rapidement. La femme surprise tenta de se défaire de l’emprise, mais je tenais bon, j’étais même fier de la maîtriser ainsi. Nous entendions la femme crier son mécontentement :
    
    — Arrêtez tout de suite cette plaisanterie. D’ailleurs mon mari va arriver d’une minute à l’autre.
    
    Le serveur d’un ton sec la stoppa.
    
    — C’est une idée de ton mari, c’est lui qui nous a dit que tu aimais ça, que tu rêvais de te faire baiser comme une chienne, que ton fantasme s’était d’être prise par un beau Black comme moi.
    
    La femme ne disait plus rien, elle ne tirait plus sur ses mains pour se libérer, il ...
    ... y eut un grand silence…
    
    Bertrand me regarda et me dit :
    
    — Tu vois, encore une qui va sacrément s’amuser. Surtout, tu ne la lâches pas, c’est le concept. Je te laisse cinq minutes, je vais voir mes clients, je vais peut-être mettre un coup à la gonzesse que tu tiens si elle est bonne.
    
    Au moment où Bertrand sortait de notre cachette, la femme que je tenais se remit à bouger, mais cette fois-ci, cela sembla bien différent, les mains ne voulaient pas sortir, mais allaient d’avant en arrière…
    
    Ça y est, la salope est en train de se faire sauter, je commence à l’entendre, elle semble y prendre goût, la cochonne… J’y crois pas… Maintenant, je l’imagine le cul en l’air, à genoux sur ce canapé, sa robe relevée sur ses hanches et ce grand Black en train de la labourer, il doit lui peloter les seins en même temps… C’est sûr, elle prend son pied, je l‘entends clairement.
    
    — Vas-y, baise-moi, salaud, plus fort, plus fort !
    
    Le serveur l’insulte.
    
    — Tu aimes ça, salope ? Tu prends ton pied, on va te baiser, mes potes et moi. Tiens, c’est mon patron qui rentre ! Tu veux qu’il t’encule, mon patron ?
    — Oui, oui, qu’il m’encule, pendant que tu me baises, je veux être prise de partout…
    
    Ouah, je n’en revenais pas et je bandais comme un âne. Si j’avais pu avoir une troisième main !
    
    C’est pas vrai, je reconnais Bertrand, sa voix est déformée, mais c’est bien lui, ah le salaud…
    
    — Alors ma petite dame, on s’amuse avec le concept du patron ? Max, passe en dessous. Allez ma ...