1. L'âge d'or


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fhh, 2couples, hagé, fagée, cadeau, voisins, vacances, danser, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... de sa quête. Son graal est bien là, à portée de bouche, mais elle sait se retenir de l’enfourner pour en prendre lentement connaissance. Elle apprivoise l’animal, l’effleurant du bout des doigts, testant sa vigueur, enveloppant les bourses déjà gonflées avant de le prendre en main pour en faire le tour.
    
    Ah, ce garçon a bien de la chance. La nature ne l’a pas défavorisé. La jeunesse lui donne une vigueur et une dureté que j’ai perdue en chemin, même si je n’ai pas à rougir de ce que Pauline tient en main. Sa queue a un côté « sauvage », noueuse, large, que l’on s’attend à trouver chez un homme de la terre et pas du tout chez ce jeune homme sans un poil sur le corps, presque efféminé de visage.
    
    Martine me dira plus tard que cela avait été une demi-surprise de découvrir la chose. Déjà à la boîte, Franck l’avait entraînée dans une toilette pour la supplier de le branler car son sexe devenait douloureux tellement elle le faisait bander. Comment refuser un tel hommage ? Ainsi elle, la mamy de 65 ans déclenchait chez ce jeune homme un désir si fort qu’il en devenait douloureux. Elle s’était exécutée et quelques va-et-vient avaient suffi pour qu’il crache sa purée dans les kleenex. C’est d’ailleurs à cet instant que tous les deux ont réalisé un oubli gravissime. Ni eux, ni nous, n’avions pensé aux capotes. Heureusement le distributeur était fourni. Ainsi leur escapade nous avait sauvés du désastre de se retrouver « démunis lorsque la bise fut venue ».
    
    Pauline est une ...
    ... petite futée. Elle comprend que je la délaisse un peu pour profiter du spectacle. Après tout ce n’est pas tous les jours que l’on a chez soi, l’occasion de voir sa femme s’occuper d’un autre homme. Pour eux aussi, c’est une première fois. Enfin, si on exclut une soirée tellement arrosée qu’ils se sont réveillés entre les bras de leurs amis respectifs, sans pouvoir vraiment se souvenir de ce qui s’était réellement passé. Les jeunes ne savent pas boire !
    
    Martine abandonne le sexe pour aller placer ses mains sur les fesses que je devine fermes et frissonnantes à leur contact. C’est moi qui lui ai montré combien, pour un homme, cette façon de faire était érotique. Il ne manque que la prise en bouche mais la friponne a décidé de lui faire le grand jeu, celui des soirées d’hiver où au coin du feu, chacun s’applique à doucement faire monter le plaisir.
    
    La bite tendue et ses deux roues de soutien se transforment en bâtonnet de glace que la coquine lèche voluptueusement, récupérant de la langue les gouttes imaginaires que la chaleur produirait. Celle qui suinte du méat est bien réelle et elle la cueille. Je sais maintenant qu’elle doit aussi retrouver l’odeur diffuse de l’éjaculation dans les toilettes. La sucette est luisante et il n’est pas nécessaire de s’appeler « Annie » pour aimer « les sucettes à l’anis ». Ma femme ouvre ses lèvres. Un instant je crains qu’elle ne puisse s’ouvrir assez pour que le mandrin entre, mais si, le gland disparaît déjà, la hampe aussi partiellement. ...
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