1. L'âge d'or


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fhh, 2couples, hagé, fagée, cadeau, voisins, vacances, danser, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... lorsque je vois ma maîtresse humidifier son majeur et le pointer contre l’anus de ma femme. Un feulement sort de ses lèvres lorsque le majeur force le passage et trouve son chemin dans le cul. Pauline me regarde pendant qu’elle fait aller et venir son doigt. Je comprends son manège. Je souris. Alors gardant son doigt occuper le conduit, elle se penche vers moi et prenant ma queue bien raide dans sa bouche, la couvre grassement de sa salive. Elle se relève, recule, m’abandonnant la place, et me livrant un petit trou déjà entrouvert.
    
    Je ne connais rien de plus sexuel qu’un trou du cul qui reste encore ouvert alors qu’un doigt, un gode, une queue vient de le quitter. C’est comme s’il disait « Ne me laisse pas ! Reviens ! Regarde, je reste ouvert pour toi ! » Si vous ne répondez pas à son appel, vous le voyez alors se refermer lentement, comme à regret, et redevenir une ombre protégée par l’anneau musculaire. Si vous revenez vers lui, il va bailler de plaisir et vous laisser la place avec juste assez de résistance pour bien montrer qu’il reste le gardien des lieux.
    
    C’est ce que je fais. Le gland et le cul se reconnaissent. Combien de fois ai-je sodomisé ma femme ? Elle aime bien que je le fasse et avant, du temps de ma faiblesse, pour pallier ce handicap j’utilisais un gode creux avec lequel je pouvais la mener à l’orgasme même après avoir déchargé. Par l’utilisation répétée de cet objet, de fait d’un diamètre supérieur à ma verge, son anus s’est assoupli. Mais ce matin ...
    ... c’est différent, dès la porte franchie je sens que les lieux ne sont pas libres. La bite de Franck, bien enchâssée jusqu’au fond du vagin, repousse la mince cloison qui nous sépare et vient empiéter sur mon territoire. Jamais je n’avais senti pareille résistance. Il est vrai que les quelques fois où nous avons joué au jeu de la double possession, le gode qui occupait le con ou le cul était bien plus petit. Je pousse, pousse. Lentement je progresse. Je surveille aussi ma femme, ne voulant pas la blesser. Son visage est caché dans le cou de son amant. Millimètre par millimètre je rampe contre la bite de Franck, attentif que les gémissements ne se transforment pas en cris de douleur.
    
    C’est fantastique, je suis au plus profond. Franck et moi ne faisons plus qu’un, nos bites se touchent à l’intérieur comme à l’extérieur. Je sens mes couilles qui pendent, méfait de l’âge, venir toucher les siennes dans un salut masculin et encore jamais connu. Martine ne cesse de pousser de petits gémissements à peine étouffés mais je les reconnais, de plaisir. D’ailleurs alors que ses deux amants restent immobiles, elle bouge du bassin comme pour chercher la meilleure position et profiter de nous. C’est elle maintenant qui se place. Lentement, avec précautions, elle avance un peu pour se libérer de notre occupation, puis reculer encore plus lentement pour venir se prendre jusqu’à la garde.
    
    À chaque mouvement elle s’engaillardit en amplifiant ses mouvements. Quelquefois nos queues sortent mais ...