1. L'âge d'or


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fhh, 2couples, hagé, fagée, cadeau, voisins, vacances, danser, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... sur ma verge. C’est le con d’une jeune femme qui n’a pas encore enfanté.
    
    Ainsi nos voisins sont côte à côte, à notre merci, sous notre commande. Martine est déjà bien avancée dans le plaisir et si elle apprécie de me voir à son côté, nul doute que ses sens soient exacerbés par la queue sur laquelle elle s’enfourne. Alors que moi, je commence seulement mon doux mouvement, prenant toute la dimension de ce qui m’est offert, Franck annonce sa montée par le bien classique « je viens ». Aussitôt Martine qui a déjà eu son compte de plaisir sort la bite de sa chatte, arrache la capote et tout en branlant la bite redevenue couleur humaine, dirige les jets qui en surgissent sur le ventre de son amant d’un soir.
    
    Pauline regarde aussi puis, revenant vers moi, me fait un large sourire. Combien de temps l’ai-je besognée, alternant les possessions avec les caresses de la bouche ? Ma femme et Franck ont regardé un instant puis nous ont quittés pour aller retrouver la fraîcheur sur la terrasse. Je ne veux pas paraître prétentieux mais je lui ai fait le grand jeu. C’est elle-même qui m’a fourni les conditions pour finir en beauté. Alors qu’elle s’était longuement baisée en me chevauchant, je l’ai placée en levrette. La coquine a une cambrure de reins digne d’une acrobate chinoise et comme que je la prends toujours par mes va-et-vient, elle arrive à frotter la pointe de ses seins sur le tissu rugueux du couvre-lit. Le mouvement est magnifique. Je reste immobile et c’est elle qui avance ...
    ... et recule pour venir s’enchâsser sur ma bite. Placée ainsi, largement écartée pour faciliter son frottement, son petit trou est une invite à laquelle je ne résiste pas. Mon pouce force le passage et elle ne rechigne pas. Ma queue le remplace et pendant qu’elle s’immobilise pour me faciliter la tâche, j’avance doucement dans ce conduit si étroit que mon sexe, enflammé de sa longue besogne, me fait mal.
    
    Quelques gémissements, de douleur ou de plaisir, sortent de ses lèvres. Nous restons un instant immobiles, rivetés l’un à l’autre et j’ai l’impression que mon sexe gonfle encore au point que j’ai l’image saugrenue de ces chiens qui ne peuvent plus s’extraire de la chienne. Je crois que même si je voulais durer encore et la faire hurler par une sodomie sauvage, je ne pourrais pas. Quelques mouvements pour lui apporter une dernière jouissance, le cul rempli, les tétons de sein douloureux des frottements du tissu après tant de caresses, sa main qui tapote son clito qui doit briller dans le noir tant il a été sollicité et ma sève monte, monte. J’arrache la capote et libère les jets violents sur les fesses et les reins de la belle.
    
    Nous reprenons notre souffle et je vais chercher une serviette pour essuyer la preuve de ma jouissance. Franck et Martine nous attendent sur la terrasse. L’air frais nous saisit, glaçant un instant nos épidermes en sueur. La nuit est étoilée. Personne ne parle.
    
    — Et si vous restiez coucher ici ? lance Martine.
    
    Quel drôle d’idée ! Ils sont à deux ...
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