Ma rencontre avec Marie
Datte: 08/01/2020,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... pouce et l'index, tirait dessus comme pour les allonger encore. Elle prit le sein droit et le compressa de ses deux mains pour le faire ressortir et elle en enfourna autant qu'elle le pouvait dans sa bouche, aspirant comme pour me traire. En le ressortant, elle mordit le bout du téton avec ses incisives.
Elle m'enleva mes chaussures. "Mets toi à plat ventre sur le lit." Elle semblait très directive et inexplicablement, je me soumettais à ses instructions.
Je l'entendis qui se déshabillait. Elle s'allongea sur moi, me recouvrant totalement. C'était la première fois de ma vie que je touchais un corps de femme nue. En vérité, je ne touchais rien. C'était plutôt ma peau qui était en contact avec la chair de Marie. Elle avait son ventre dans le creux de mes reins, ses bras le long des miens et elle prit mes mains dans les siennes, entremêlant nos doigts. Elle m'embrassait un peu partout sur le visage. Ses seins s'écrasaient sur mon dos et je sentais ses poils pubiens sur mes fesses.
Marie roula sur elle-même et me commanda de me mettre sur le dos. Je continuais à lui obéir. Elle vint se placer entre mes cuisses, qu'elle écarta largement, le visage à quelques centimètres de mon sexe. Je sentais son souffle sur mes lèvres. Elle les sépara pour dégager la vulve. Elle glissa son index à l'entrée du vagin et quand elle le ressortit, un fil de cyprine s'étira qu'elle porta à sa bouche.
Elle frotta délicatement l'intérieur de mes lèvres avec ses deux doigts en fourche. Elle ...
... les mouillait dans le vagin. Elle me pénétrait à la profondeur d'une phalange, ressortait ses doigts, les séparait en remontant jusqu'à la base du clitoris où ils se rejoignaient. Elle faisait le même chemin en descendant et s'enfonçait à nouveau. Elle allait lentement mais à une cadence de métronome. A plusieurs reprises je tentais de serrer mes cuisses mais Marie les maintenaient ouvertes et les bloquaient avec ses coudes. Je ne fis que contracter mes muscles sans pouvoir bouger les jambes. Puisque je ne pouvais pas bouger horizontalement, j'essayais de lever mon bassin, mais là encore Marie m'en empêcha en appuyant sur mon pubis avec son autre main, sans pour autant arrêter ses stimulations. J'étais impuissante, soumise à la caresse méthodique faisant inexorablement monter le plaisir. Le va-et-vient continuait, en profondeur, puis en surface, de bas en haut, puis de haut en bas. Je retenais ma respiration, je serrais les fesses, je bandais mes abdominaux, dans mon esprit je tendais mon sexe vers le visage de Marie mais sans pouvoir modifier concrètement ma position. Elle dû le ressentir sous sa main et c'est elle qui approcha sa langue de mon clitoris.
Elle posa la pointe directement sur le bouton. Ça me fit l'effet d'une décharge électrique. Mais je ne pouvais pas bouger, seulement gémir. Elle fit tomber de la salive et en nappa toute la surface autour du capuchon avec sa langue. Elle titilla le petit gland, puis le lécha avec de moins en moins de délicatesse et finit ...