Provocs Ferroviaires
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... remarqué une discrète petite croix sur le revers de son veston. C'était un jeune prêtre ou un séminariste. Il tremblait comme une feuille, de tout son corps, j'ai cru qu'il allait s'évanouir. Comme dans un état second, il s'est penché vers moi, il a osé mettre ses mains sur mes cuisses, les a montées toutes frissonnantes jusqu'à ma chatte. A peine commençait-il à la farfouiller que son collègue, habillé de même est arrivé. Le voilà qui s'est mis à genoux sur le plancher pendant que l'autre lui faisait un sermon sur la Puissance du Mal, la Résistance à Satan incarné dans mon Âme en perdition etc... Je les regardais en souriant ironiquement, indifférente à leurs discours, prières et contritions. Je suis persuadée que le moralisateur aurait aimé être à la place de l'autre.
Pour terminer quelques scénarios pour les voitures de TGV dont les porte-bagages sont en verre épais ce qui permet de voir ce que font les passagers assis côté fenêtre quelques places plus loin.
Certains hommes ne se privent de mater ainsi les grands décolletés. A plusieurs reprises j'en ai repéré qui se masturbaient en lisant des revues pornographiques. Une fois, dans une voiture pratiquement déserte, un homme au lieu de se branler comme les autres à travers son pantalon, avait carrément sorti sa queue. Que faire du sperme qui lui poissait la main droite. Il l'a essuyée ...
... sur le tissu du siège à côté de lui. Le porc! C'est alors que j'arrive, il n'avait pas terminé de rentrer son instrument. Je commence à m'asseoir à côté de lui.
-- Non, pas ici.
Il était tout rouge, mais incapable d'expliquer pourquoi je ne devais pas m'asseoir à côté de lui.
-- Vous n'êtes pas très galant. Je pensais pourtant que vous aimiez les jolies femmes!
Je vous laisse deviner sa tête. Une autre fois, dans une voiture presque vide, j'ai repéré un homme qui choisissait une place lui permettant de mater mon généreux décolleté. J'ai pu vérifier qu'il me lorgnait avec mon miroir à maquillage. Je lui ai offert le spectacle d'une masturbation digne du meilleur de théâtre porno, la robe relevée sur le ventre, à deux mains dans le slip, en exagérant les mouvements annonciateurs de l'orgasme. Un orgasme d'ailleurs que me suis vraiment offert. Il n'en avait pas perdu une miette. Mais c'était un pur voyeur, peut-être même un impuissant. Car quelques minutes après, je suis venue m'asseoir en face de lui (il était au centre, sur l'une de ces banquettes qui en ont une en face). Il s'est plongé en rougissant dans sa revue porno, et il a changé de place quand j'ai cherché à commencer une conversation. Dommage.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Si vous avez des anecdotes de sexualité ferroviaire, n'hésitez pas à me les envoyer.
Myriam