1. Félline - Une BioXXXgraphie (4)


    Datte: 07/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... gauche. Quand elle sentit Jean se positionner contre son cul, quand elle comprit où il voulait en venir, elle s’exclama :
    
    _ Non, attends, la double, on n’a jamais…
    
    _ Tu es tellement ouverte que tu vas jouir comme jamais, chérie, murmura Jean à son oreille de sa voix la plus tendre, celle qui la faisait craquer à tous les coups.
    
    _ Vous êtes trop des…, dit Farid.
    
    _ Oh… Oh…, dit Félline.
    
    _ J’entre… J’y suis presque… Aaah…, feula Jean.
    
    Félline courba la nuque en même temps qu’elle cambrait les reins. Tous ses membres étaient secoués de frissons si violents qu’elle ne contrôlait plus rien.
    
    _ Ho la vache… Ho la vache, murmura-t-elle, j’aurais jamais imaginé… J’aurais jamais imaginé… Je vais jouir… Je vais jouir sur vous deux… Ho mon dieu… Ho-mon-dieu !
    
    Les avant-bras appuyés sur le torse de Farid, Félline sentait son ventre frissonner, et les frissons se transformer en va-et-vient. Son corps, poussé dans ses retranchements, réclamait une portion supplémentaire de jouissance, un rab d’orgasme. Elle le reçut presque aussitôt.
    
    _ Je ne peux plus m’arrêter, je ne peux plus m’arrêter… Je vais jouir encore une fois… Ho je jouis… Ho !
    
    Il fallut à Jean tout son sang-froid pour couper court à ces ébats. Il savait au visage de Farid que celui-ci ne pourrait pas se retenir très longtemps. Il sortit de Félline et lui dit :
    
    _ Donne-lui aussi ton cul, chérie. Il en a très envie, je pense.
    
    Félline fit volte-face au-dessus de Farid, lui tourna le dos, passa son ...
    ... bras gauche dans son dos pour empoigner la bite de son invité, et la diriger vers son anus. Le visage perdu dans la chevelure de Félline, Farid humait avec délices le parfum de stupre inouï qu’elle exsudait.
    
    _ Tu l’as, chérie ? Tu l’as bien ?
    
    _ Oui… Oui !
    
    _ Alors à moi.
    
    Jean s’approcha. Il enjamba les genoux de Farid, s’agenouilla devant Félline, présenta son gland contre la vulve, et entra en elle d’un coup de reins. Elle lui souriait comme jamais, les yeux brillants, les lèvres tendues.
    
    _ Tu me vois, chéri ? Tu vois ce que je fais ? Regarde-moi me faire baiser dans tous les trous ! Regarde ta petite salope de meuf, une bite dans le cul, une bite dans la chatte.
    
    _ Occupe-toi de jouir au lieu de discuter.
    
    Jean se positionna comme il savait le faire. Un instant, il faillit éjecter Farid, mais celui-ci eut la présence d’esprit d’interrompre le mouvement imprimé à Félline par les coups de bassin de Jean en lui tenant les hanches. Pour l’aider, Félline entoura le cou de Jean de ses bras, et ne songea plus qu’à prendre le plus violent pied de sa vie. Une nouvelle fois, son ventre fut saisi de spasmes incontrôlables. Une nouvelle fois, l’orgasme roula de ses poumons à ses lèvres avec une violence de bourrasque. Ç’en était trop pour les deux garçons, qui éjaculèrent de toutes leurs forces à quelques secondes d’intervalle. Félline sentit le double déferlement de sperme inonder son cul et sa chatte, provoquant en elle un trouble prodigieux. Un instant, elle crut ...
«12...5678»