1. Félline - Une BioXXXgraphie (4)


    Datte: 07/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... maintenant. Juste ta gueule. Tu me baises et tu n’ouvres plus ta gueule. Compris ? Je ne suis pas ta salope, compris ? Encore moins celle de tes potes. C’est clair ?
    
    _ Ouais, ouais, excuse, c’est clair, j’ai compris.
    
    _ Vous, les mecs, vous êtes tous les mêmes, on vous donne ça et vous voulez ça. Profite et ferme juste bien ta gueule.
    
    Cette fois, Farid ne répondit pas. Il se contenta de poser ses mains sur les hanches de Félline et de diriger le bassin de la jeune femme jusqu’à son érection.
    
    _ Voilà. Ça, c’est bien, dit Félline. Oui, comme ça. Prends-moi… Oui… Oui !
    
    Il entra en elle et commença aussitôt à la gratifier de grands coups de boutoir. « Au moins, lui, il n’est pas puceau ! », songea Félline. « Mais pas sûr que la culture porno, ce soit beaucoup plus utile », nuança-t-elle aussitôt.
    
    Tous les clichés y passèrent. Farid avait à peu près autant d’imagination qu’un réalisateur de gonzo californien. Encore un peu et il aurait parlé en anglais. Il s’en fallut d’un cheveu aussi qu’il demande à Félline de se laisser filmer. La jeune femme ne complaisait à ses envies que dans la mesure où elle savait que Jean arriverait d’une minute à l’autre, et que lui saurait comment s’y prendre pour lui faire chavirer le cœur.
    
    Avec les changements de position successifs – un toutes les quatre minutes, avait constaté Félline en regardant l’horloge digitale du lecteur de DVD –, Farid avait finalement opté pour la moins mauvaise, d’après Félline. Il avait disposé la ...
    ... jeune femme à quatre pattes sur l’édredon, tête vers la porte de la chambre, pendant que lui, à genoux derrière elle, la prenait en levrette. Au moins, dans cette posture, se disait Félline, il me fait du bien et je ne suis pas obligée de regarder sa gueule de con.
    
    _ Vas-y, regarde-moi, dit Farid, regarde-moi te prendre, sérieux.
    
    La porte d’entrée claqua. « Ouf, enfin », se dit Félline.
    
    _ Chérie, c’est moi !, lança Jean à la cantonade.
    
    Une seconde plus tard, le doctorant en mathématiques apparaissait à l’entrée de la chambre.
    
    _ Je… Ce… M’sieu, c’est pas ce que…, balbutia Farid.
    
    _ Encore en train de t’envoyer un inconnu, constata Jean, goguenard. Toujours en train de t’envoyer des mecs, toi, hein.
    
    Déjà Félline, qui s’était dégagée de Farid, se jetait sur Jean.
    
    _ Tu te joins à nous, chéri ? J’ai super envie de toi.
    
    Toujours à quatre pattes sur le lit, elle dégrafait déjà la ceinture de Jean à toute vitesse. Pantalon et slip dégringolèrent et Félline s’empara de l’érection naissante de Jean. Avant de l’engloutir dans sa bouche brûlante, elle eut la présence d’esprit de tourner la tête vers Farid :
    
    _ Pourquoi tu as arrêté de me baiser, toi, au fait ?
    
    Farid se rapprocha et pénétra une nouvelle fois Félline, qui venait de précipiter sa langue sur le gland de Jean.
    
    _ Surtout, tu ne jouis pas avant qu’on échange, dit Jean à l’adresse de Farid.
    
    Mais Farid ne l’écoutait que d’une oreille, tout occupé à besogner Félline de son mieux, hypnotisé par les ...
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