COLLECTION LES CHIENNES. Suite de l’expérience improbable (2/2) - Histoires de Sexe

COLLECTION LES CHIENNES. Suite de l’expérience improbable (2/2)

C’est en février que le site HDS a publié l’histoire improbable d’une expérience elle aussi improbable concernant mon verre de whisky oublié non terminé sur ma paillasse de mon petit laboratoire.

Il me faut une éprouvette, je vide celle avec de la Salva fleur ramenée de la Réunion lors de notre voyage de noces et que je venais de piler avant de la mélanger en quantité très précise avec divers produits dont je tairais le nom.

Je sais si vous avez lu l’histoire vous savez que ma femme l’a bu et lorsque je suis remonté pour dîner a baisé comme jamais elle ne l’avait fait.

Deux problèmes s’ouvrent à moi, le temps de l’effet de ma mixture et la réelle quantité qu’il faut faire boire à une femme pour qu’elle devienne chienne.

Pour Jennifer, l’effet dur jusqu’au samedi où nous nous rendons chez Marc et Sissy nos témoins de mariage.

Certes Sissy me plait, mais je me vois mal faire une partie carrée avec nos amis.

Je sais que le sexe et des amis ont quelquefois des effets pervers si l’un des partenaires décide d’arrêter le jeu.

Dans mon entreprise de cosmétique où je fais de la recherche à grande échelle et des moyens plus grands que ceux dans mon petit laboratoire, j’ai un ami qui un jour de fête autour d’un verre m’avait fait comprendre qu’il était libertin.

Qu’ils étaient libertins, je devrais dire ou lors d’une baise entre amis, sa femme était partie avec un beau black même pas monté comme il est dit dans les histoires avec ces hommes de ...

... couleur.

Son truc, étaient les cunnilingus pratiqués mieux qu’aucun autre homme.

J’ai donc repris mes chiffres dès le lendemain et mes mélanges avec mes notes.

J’ai extrait la même quantité de substance comme je l’avais fait la première fois.

Nada, rien, aucune réaction pourtant Jennifer la première fois avait bu tout le reste du verre de whisky.

Whisky, le mot était lâché, le tout était mêlé au whisky, un problème se pose à moi, ça fait trois fois que je verse le contenu de la fiole dans laquelle j’ai placé mon expérience dans son verre d’eau.

Eau, whisky, je vais chercher ce breuvage qui pourrait renfermer des propriétés encore mal exploitées.

Il me faut un autre cobaye, le premier étant arrivé au bout des risques que je pouvais prendre avec elle, n’oublions pas que même si elle est un peu frigide, je l’aime et je veux qu'elle me donne de beaux enfants pas des dégénérés du bulbe.

Mamy, c’est ma solution, mamy est notre voisine et c’est Jennifer qui s’occupe d’aller acheter ses médicaments.

Soixante-douze ans, veuve.

Je sais vous penser que je suis fou, mais il me faut prouver que la fiole qui est dans ma poche est efficace.

Qui mieux qu’une grand-mère pour tester mon produit.

Je m’arrange pour que ce soit moi qui vais contrôler que la vieille dame a bien pris ses cachets pour ses jambes ayant du mal à la porter et qu’elle mange correctement que je décide d’agir.

- Mamy, le médecin vint de me dire qu’il faut vous donner un peu de whisky pour vous ...