Check up - Histoires de Sexe

Check up

... que je croyais que vous alliez me sauter sauvagement sur la table d’examen, ou le bureau pour changer, mais que je me rends compte que pour ça, je peux me rhabiller direct.

— On va passer à côté et vous allez vous déshabiller et vous allonger.

J’enlève ma jupe crayon(qui me faisait un cul d’enfer) et mon top, et me voilà dans mon soutien-gorge fuchsia à frou-frou et son shorty assorti. Je m’allonge.

Le stagiaire se retourne enfin et me salue.

Belle gueule, ma foi, dommage que je lui en veuille trop de m’avoir gâché une occasion, sinon j’aurais pu apprécier la vue.

— Je vais vous demander de retirer votre soutien-gorge, me dit mon docteur.

Ses mains arrivent pour me palper la poitrine. Les souvenirs de la dernière fois affluent et j’ai le plus grand mal à me retenir de gémir.

— Touchez, et dites-moi ce que vous en pensez, dit-il à l’interne.

Ce dernier s’approche et pose à son tour une main sur mon sein afin de m’examiner.(Oh putain, j’ai la chatte chauffée à blanc !) Je serre les dents et jette un œil sur mon docteur. Ses yeux vrillés dans les miens, j’ai vu qu’il a compris mon trouble.

— Alors qu’en dites-vous ? dit-il en effleurant discrètement mon téton avec son pouce.
— Tout me semble normal, monsieur, répond l’interne.
— Passons à la suite. Si vous voulez bien retirer votre culotte.
— C’est un shorty, monsieur, sort l’interne.

Oh, mais c’est que je serais tombée sur un connaisseur en plus. Putain ça va pas arranger mon envie de sexe ...

... ça).

Plaquant les épaules sur la table, je soulève mon cul de manière à pouvoir retirer le shorty en question. Ce faisant, je surprends le coup d’œil du doc vers mon entrejambe.

Eh oui, j’avais vu que tu avais apprécié la dernière fois et j’ai refait l’intégral, quel dommage quand même) !

Écartant les cuisses sans invitation, j’attends l’examen.

— Je vous laisse faire, allez-y introduisez deux doigts.

Le stagiaire s’exécute(la vache ! Il a de longs doigts) et les fait bouger pour son examen(putain c’est bon ! Ça y est, je mouille comme une dingue.) Perplexe, l’interne se tourne vers le docteur :

— Je sens comme des spasmes.

Il me prend alors le poignet avec son autre main et s’exclame en questionnant :

— Elle fait une tachycardie ?

Mais non, abruti, j’ai juste envie… Non, plus que ça, besoin de me faire défoncer la chatte.

— Laissez-moi voir.

Le stagiaire retire ses doigts et le docteur m’enfonce les siens à la place. Il en profite pour effleurer subrepticement mon clitoris en feu. Une décharge électrique me parcourt. Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps et le pire c’est que je crois que le toubib le sait.

Et il en profite le salaud ! D’accord, fini de jouer, je craque, je capitule.

— Docteur, je n’en peux plus.
— Vous ne vous sentez pas bien ? demande l’interne.
— Non effectivement, ça ne va pas très bien. J’ai besoin de me… ressourcer.
— Vous voulez faire une cure ? me dit-il avec des yeux effarés.
— Hum, pas tout à fait. ...