1. "Mes petits Fantasmes avoués..."


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Humour Auteur: MeLiNalaLeGuMe, Source: xHamster

    Enfin fini d’écrire, de décrire, c’est un jet sans trop réfléchir…
    
    je rappelle qu'un fantasme n'a pas besoin d'être mis en oeuvre, la raison à des raisons que la raison ignore...
    
    1er petit fantasme. ( un qui m'a souvent trotté en tête)
    
    Il m’est arrivée lors de danse collée-collée… de sentir mon partenaire bander. Son sexe contre moi, raideur soit assumée, soit gênante pour lui. Peut-être plus que pour moi si j’ai déjà décidé de ne pas me reculer de ce contact… mais affriolée d’envies troubles…
    
    Ce ne sont jamais des inconnus, j’aime être draguée, faire ma charmeuse aussi, j’aime la séduction. À part toute jeune, je connaissais déjà mes amants futurs. Ami d’amis, un collègue de travail, fréquentations connues… Je les connais, j’en ai même aussi entendu parler par des amies… Je suis peu aventureuse. Je ne brave pas le danger.
    
    Si je le laisse se coller ainsi, sexe érigé dans son pantalon, j’en jouais et j’en ai eu bien des émois. Ce contact j’aimais le faire un peu durer, esquiver le baiser qui aimerait se poser sur ma bouche, un peu garce, mais comme l’attente est divine... Les mains se placent différemment, plus bas sur les reins, les têtes s’approchent, les souffles se font chaud dans les cous, il flotte un air agréable de tension sensuelle, les corps se décontractes, le sang circule dans les veines, la chaleur qui s’en dégage excite autant l’un, que l’autre. On sait l’un comme l’autre qu’on y est, que cela va arriver, ce temps d’attente est autant une ...
    ... frustration qu’un bonheur inégalable. Ça put le sexe comme on dit.
    
    C’est dans ses moments que trottent dans ma tête de linotte, des envies de ses mains moins pudiques… Qu’il att**** mes fesses et les presse, qu’il montre son impatience en perdant sa galanterie, celle que pourtant j’impose. Peu on osait braver ça, mais certains ont fait les choses à la perfection. Se limitant à des approches palpatives délicieusement affriolantes, qui restent ainsi aux limites du soft jusqu’au baiser, le premier, entre correction et impudeur de doigts habiles. Les plus « parfait », au premier baiser, après m’avoir déjà très excitée, ceux qui osent poser une main sur mes fesses, un sein, l’air de rien, puis glisser sous le tissu leurs doigts, pétrir ma chair, et toujours ce sexe dur contre mon corps, un frottement suave, mon ventre palpite, s’électrise, je mouille, je veux !
    
    Là, je m’imagine enlevée par cet homme, je le suis sagement, obéissante pour une fois, ou il veut, tant qu’à la fin il me prenne. J’ai alors perdu ma vertu, mes honte sociale, surtout un petit verre dans le nez. Il m’emmènerait et sur la route l’envie du coup de la panne, je n’attends que ça. Qu’on me baise quoi, sur une banquette arrière, en mode pressé, que cela soit fort mais pas brusque, sexe et sans trop de complaisant, je sais que je suis si excitée dans ces moments que je me laisserais faire bien des choses… Avec ce petit truc de le faire avec autour de moi la vie, les voitures qui passent, ne pas être vue clairement, ...
«1234...»