1. Qui bene amat... bene castigat !


    Datte: 06/01/2020, Catégories: fh, jeunes, frousses, couple, extracon, grossexe, jardin, soubrette, vengeance, fsodo, Auteur: Jenny Pirate, Source: Revebebe

    ... son œuvre, et frappe une fois dans ses mains. À ce signal, un immense esclave à la peau cuivrée, probablement perse ou égyptien, jaillit d’un recoin ténébreux de la pièce, entièrement nu et lui aussi en pleine érection.
    
    — Eh ! s’exclame Gaius. Qu’est-ce que ça veut dire ?
    — Ça veut dire, mon amour, répond Flavia d’une voix acide, que je t’ai vu hier en train de besogner ta petite esclave ! Ah, c’est beau, de profiter comme ça de ses servantes !
    — Tout le monde le fait, fait Gaius, penaud.
    — Tout le monde, mais pas toi ! crache Flavia. Tu avais juré de ne jamais poser tes mains sur une autre femme !
    — C’est une esclave, pas une femme !
    — J’ai vu ce que tu lui faisais, tu l’as traitée comme tu m’aurais traitée… le fantasme du « Maître » en plus, pas vrai ?
    — Mais…
    
    Flavia l’interrompt d’un geste sec.
    
    — Tais-toi. Un sourire revient sur ses lèvres quand elle ajoute, en montrant le grand esclave : Je te présente Atep. C’est ma petite surprise pour toi. Tu sais… quand je t’ai vu, hier, en train de te faire ta jolie cuisinière, j’ai été enragée… et terriblement excitée ! Alors, je me suis dit qu’il faudrait rétablir l’équilibre, tu ne crois pas ?
    — Tu ne vas pas…
    — On parie ? lance-t-elle d’un air canaille, en appliquant un bâillon sur la bouche de son amant.
    
    Penchée sur le corps ligoté de Gaius, elle se débarrasse de sa robe, dévoilant le peu qu’elle cachait encore. De ses petits doigts habiles, elle descend de ses cheveux jusqu’à ses seins, qu’elle caresse ...
    ... sensuellement avant de passer à son ventre et à sa douce toison intime ; pendant ce temps, son amant s’est enfin mis à bander comme un véritable taureau. Mais Flavia délaisse ce membre impétueux pour s’approcher à nouveau du colosse à la peau de bronze et de son énorme virilité dressée qu’elle se met à caresser doucement. Un instant, elle pense même à se mettre à genoux, ouvrir les lèvres et gober ce grand pieu luisant, tendu vers elle comme s’il l’appelait ; oui, un instant elle songe à répondre à cet appel et à avaler le gland turgescent du bel esclave, puis elle se reprend : quoi qu’ait fait Gaius, ils sont toujours fiancés et promis l’un à l’autre. Malgré toute sa rancœur, elle refuse de lui faire ça, car, malgré tout, elle continue à aimer son bel amant Romain. Donc, plutôt que de céder aux instincts animaux qui s’emparent de son corps, Flavia guide le grand Atep vers le lit en le tenant toujours par la queue ; elle prend place contre le lit, se courbant vers l’avant pour poser ses mains sur le bois de lit. Rivant son regard dans celui, irradiant de colère et de désir, de Gaius toujours ligoté, elle ne donne qu’un seul ordre à son esclave :
    
    — Prends-moi.
    
    Sans faire autant de chichis que Gwendoline la veille, Atep obtempère sans discuter : empoignant d’une main large comme un battoir les hanches cambrées de sa maîtresse, il guide de l’autre sa grande lance droit dans l’intimité de Flavia, la pénétrant d’un ample mouvement de bassin. Pour la première fois de sa vie, ...
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