Autoroute aventureuse
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
hh,
toilettes,
hdanus,
init,
Gay
Auteur: Curieux, Source: Revebebe
... respiration s’accélère, je suis au bord de l’évanouissement tellement c’est fort.
Ma queue n’attend qu’un signe de mon partenaire pour jaillir au grand jour. Il a dû lire dans mes pensées. D’un coup, il s’acharne sur les boutons de mon jean, plonge avec difficultés une main volontaire dans mon boxer. C’est un délice ! Être tenu comme ça, par les couilles, me rend fou. Pas besoin de grands mouvements frénétiques pour aller au bord de la jouissance. À elle seule, cette simple pression suffirait à me faire gicler.
Un bruit de pas derrière la porte nous fige tous les deux. À l’écoute de cet invité surprise, nous restons immobiles. Surtout ne pas se faire repérer. Ce serait très inconfortable de sortir à deux des mêmes chiottes. Dans un silence abyssal, le moindre mouvement de ce nouvel arrivant résonne. Il est vraiment très proche. De l’autre côté de la cloison, on l’entend baisser la fermeture éclair de son pantalon. Puis un jet bruyant vient heurter les parois de la pissotière. Puis… plus rien. Le mec doit remballer son attirail. Les pas s’éloignent à nouveau. Pendant tout ce temps, chacun est resté comme une statue, la main toujours plongée dans le slip de l’autre.
La tension n’est pas retombée d’un pouce, la belle bite de mon inconnu a continué de grandir et s’épanouit sous mes yeux. Une perle translucide coule même de son méat. Elle me donne vraiment envie de venir poser mes lèvres assoiffées sur son gland. Je n’en fais rien. Ça serait dépasser les limites que je ...
... m’étais fixées : regarder, juste regarder.
En rester là avec ses phalanges qui tripotent mes boules, c’est quand même difficile. Il me faut trouver un compromis. Le plus raisonnable est de le faire jouir en le branlant. Vite, le branler ! Notre petit jeu va devenir suspect de l’extérieur. J’enserre sa queue à la base et remonte lentement vers son prépuce. De nouveau, une goutte de jus transparent vient se former au bout de son gland. Je sens sous mes doigts les pulsations de ses veines. Toute l’énergie de son corps semble se concentrer sur son manche. Sa main, qui jusqu’à maintenant était restée dans mon froc, se retire. Nerveusement, il défait l’ouverture de sa chemise pour dégager un beau torse poilu. Sa cravate file par-derrière et je sens tout le haut de son corps à ma merci. J’en veux plus. D’un geste rapide pour qu’il n’ait pas le temps de me retenir, je baisse son boxer jusqu’à ses chevilles. Le voilà entièrement nu.
Comme son jus le long de sa tige, la tension monte d’un cran. Je vois une gourmette en or passer sous ses couilles. Il se caresse les burnes avec langueur et nonchalance. Du coup, je viens fureter moi aussi à l’intérieur de ses cuisses. Mon index se faufile jusqu’à ses fesses. Il s’y frotte avec bonheur et trouve un chemin chaud et humide. À l’entrée de son petit trou, j’hésite, je tâtonne. Je domine gentiment cet inconnu « sûr de lui et m’as-tu-vu » avec sa cravate rouge et ses chaînes en or. Un murmure envahit la pièce avec insistance. Mon compagnon ...