1. Retour de brousse


    Datte: 05/01/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Scrup89, Source: Hds

    Cette aventure se déroule en 2010. A cette époque, je viens tout juste d’avoir 20 ans. Curieusement, je suis encore puceau. Certes, il m’est arrivé de voir des potes à poil aux douches du stade mais il n’y a jamais rien eu. Quant aux filles j’ai dû me contenter d’entrevoir des seins nus de-ci de-là. Mais au final, rien. Un vrai puceau.
    
    Ceci dit, grâce à Internet j’en ai appris pas mal, et je me masturbe régulièrement. Et plusieurs fois de suite. De ce côté-là, tout fonctionne bien.
    
    Donc, nous sommes en 2010. J’ai 20 ans, et je fais une mission O.N.G dans un pays africain, une de nos anciennes colonies. De retour d’une sortie détente, un peu crevé à cause de la chaleur. Un coopérant français me propose de me ramener en ville dans son pick-up. Un confortable pick-up de luxe, de vrais sièges devant et une banquette à l’arrière.
    
    Après quelques minutes, cet homme, environ 40 ans, athlétique, laisse aller sa main du levier de vitesses jusqu’à ma cuisse. Je précise que je suis en short kaki, un peu comme les militaires, avec un large ceinturon. Surpris, je ne bouge pas. La main me caresse lentement et je sens nettement un doigt glisser dans l’échancrure du short, et … un début d’érection.
    
    - Il fait chaud, tu ne trouves pas ?
    
    - Oui, très chaud.
    
    - Mets-toi à l’aise si tu veux ; torse nu, tu seras bien mieux.
    
    J’enlève mon t-shirt et, machinalement, je desserre le ceinturon .
    
    Moins d’un km plus loin, la main de mon conducteur revient. Sur le genou tout d’abord ...
    ... puis la cuisse. Je laisse faire. Hmmmm.
    
    - Dégrafe la braguette, tu seras mieux, dit-il sans lâcher le volant.
    
    De mon côté je bande de plus en plus. J’ai honte, mais c’est si bon … J’obéis. Me voilà torse nu, le short entr’ouvert, ma bite en majesté, mais soigneusement cachée dans un slip, kaki comme le short mais en plus clair.
    
    - C’est bien. Tu aimes ?
    
    Je ne réponds pas, mais je sens bien que mon silence vaut approbation. Du coup, entre les changements de vitesse, la main s’active. Tantôt sur la cuisse, jusqu’à l’échancrure du short et enfin jusqu’à l’entrejambe du slip. Tantôt sur le slip lui-même puisque le short est à présent grand ouvert, et là je sens bien tout ce qu’il me fait. La bite, les couilles, tout y passe, à travers le tissu. Je n’en peux plus.
    
    - Enlève.
    
    - Quoi ?
    
    - Enlève tout. Je dis bien tout.
    
    - Mais …
    
    - Ne discute pas, je veux te faire jouir, là, tout de suite.
    
    Il en a trop dit, ou trop fait, je veux lui obéir mais je n’ai même pas le temps de m’exécuter. Une belle giclée de sperme m’échappe, dans mon slip. Honte à moi …
    
    - Désolé, vous aviez dit « tout de suite », c’est parti trop vite. Je bandais trop. J’ai honte.
    
    - Oui, on va t’appeler Rapido, alors. Bon, pas grave, enlève ton short maintenant pour ne pas le tâcher. Reste en slip ; avec la chaleur qu’il fait ce sera vite sec. Et… appelle-moi Jean. C’est plus facile.
    
    - Moi, c’est Jeremy.
    
    - O.K.
    
    Quelques kilomètres et pas mal de cahots plus tard, alors que je m’étais ...
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