Les extra terrestres - Histoires de Sexe

Les extra terrestres

... et mon anus alors qu'un premier monstre me pénètre.

L’un d'eux, qui semble commander, me détache . Etourdie et endolorie, j'essaye de reprendre un semblant de conscience pour évaluer mes k**nappeurs. Imaginez des monstres presque humains. Leur peau est verdâtre sans poils, avec une gueule monstrueuse. Leur sexe sous lequel pend des couilles dont un taureau rougirait est gigantesque.

Le chef m’explique longuement quelque chose que, je ne comprends pas. Alors, joignant le geste à la parole, ils m’entraînent dans une salle où un spectacle de cauchemar me glace le sang. Des centaines de choses immonde assitent à un spectacle hallucinant.

Une femme se fait prendre par des gnômes et l'assistance prend des notes. Subjuguée par cette scène, je suis brutalement jetée dans la salle. Aussitôt, un monstre muni de sortes de tentacules en formes de sexe s'empare de moi.M'emprisonne et me pénètre.

Un liquide visqueux en suinte en permanence. Je n’ai pas le temps de réfléchir. l’un des tentacules se présente devant ma bouche, en force l’entrée et s’y engouffre. J’ai un haut le cœur. La chose arrive au fond de ma gorge, me donnant des réflexes très désagréables de vomissement. J’étouffe et je ne peux plus respirer car le tentacule s’enfonce toujours, descendant dans mon œsophage. A l’autre extrémité de mon corps, d’autres parties de la bête s'enfoncent dans ma chatte et mon cul. Je suis investie d'une façon incroyable.

Investie de partout, j’ai la nausée et je sens la chose ...

... s’agiter dans mon estomac. Que va-t-il m’arriver ? Vais-je mourir, digérée par le monstre ?

Les tentacules dans mon corps deviennent terriblement durs. J’ai mal. Je sens alors un liquide chaud envahir mes entrailles tandis que le monstre hurle. Sidérée, je sens en même temps mon plaisir monter, un plaisir d’une intensité incroyable, jamais atteinte. Je ne peux pas crier, ayant la bouche remplie par cette sorte d’énorme sexe. Le liquide remonte de mon estomac et sort par ma bouche.

Enfin je sens les tentacules sortir. Les méats se présente devant mon visage. Des jets violents, visqueux et odorants m’atteignent. Je suis relâchée et je tombe nue sur le sol inondé dans un bain collant et blanchâtre, pantelante, secouée de soubresauts, à moitiée évanouie.

On me dépose dans une baignoire pleine d’eau chaude et plusieurs d’entre eux se mettent à me laver. On me fait asseoir à une table et on me parle. Comme je ne comprends pas, l’un d’eux fait signe de manger. Je réprime un haut le cœur. C’est du sperme. Un grand bol de sperme. Je pense : sans doute celui de la bête. Je comprends qu’on ne me donnera rien d’autre et je réalise que le sperme est la seule nourriture donné aux femelles. Je suis écœurée mais il faut bien que je me soumette à leur volonté. Je me mets en devoir d’avaler mon bol. Avec des hauts le cœur, j’avale tout jusqu’à la dernière goutte.

Ensuite, il m’emmène dans une salle et là je pousse un cri de surprise. Une femme se fait remplir en permanence de sperme. ...