1. L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2


    Datte: 05/01/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Pasal, Source: Hds

    ... s’est posé sur son trou, j’ai tiré tout en poussant avec mon bassin, j’ai fermé les yeux, rejeté ma tête en arrière, je l’ai entendu crier et, la seconde d’après, ma bite avait entièrement disparu dans son corps ! Il était serré mais bien humide et chaud, je me suis mis à me déchainer dans son cul, le tirant contre mon ventre tout en lui donnant de grands coups de reins. Ses fesses claquaient fort contre mon corps, mes couilles s’écrasaient contre son trou, à chaque fois, il criait : « OUIIIII » tout en se cramponnant aux barreaux de la tête du lit.
    
    J’ai lâché ses hanches pour m’allonger un peu sur son dos, j’ai posé mes mains de chaque côté de sa tête, j’ai étendu mes jambes et j’ai repris les coups forts et rapides. Cette position me permettait d’y aller encore plus fort, ce qu’il a apprécié : « Oh ouiiii, c’est trop bon, défonce-moi à fond ».
    
    Il m’a fait basculer sur le côté, je suis tombé sur le lit, il a relevé sa jambe, une de mes mains était bloquée sous son corps, l’autre est passée sur son torse et a commencé à lui triturer les tétons tandis que je le pilonnais de plus belle. On a continué un moment comme ça jusqu’à ce que je l’entende me dire :
    
    -« Oh putain, je jouis sur ta queue, t’arrête paaaaaaaas »
    
    Il avait presque complètement débandé mais son corps était agité de soubresauts, il avait la chair de poule, respirait de façon saccadée et bruyante, je sentais son cul se contracter sur ma bite, j’avais ralenti le rythme pour profiter de cet orgasme anal ...
    ... qui fut long et intense. Puis c’est mon plaisir à moi qui est monté de façon fulgurante et irréversible. Ce fut tellement violent et puissant que j’ai mordu son épaule tout en remplissant la capote de plusieurs jets libérateurs.
    
    Après avoir pris le temps de redescendre l’un et l’autre, je me suis retiré et allongé sur le dos, essoufflé et repu, il en a fait de même mais a repris sa branle quelques secondes avant que six gros jets n’expulsent son jus sur son ventre.
    
    C’est là que j’ai entendu son téléphone une deuxième fois mais lui a fait comme si de rien n’était, il m’a dit :
    
    -« Oh que c’est bon ! Tu sens cette odeur de mâle de foutre et de sexe, j’adore ça ! »
    
    Il s’est retourné et s’est couché sur moi pour m’embraser, mes mains se sont posées sur son cul, j’ai senti son trou encore béant et mouillé, son foutre et nos sueurs se sont mélangés sur nos ventres, il m‘a dit :
    
    -« T’as bien fait de venir, ça aurait été dommage ! »
    
    -« Carrément ! »
    
    On s’est caressés et embrassés encore un peu et on s’est endormis comme ça vers 4 h du matin.
    
    C’est la sonnette de la porte qui m’a fait sursauter, il y a eu deux autres coups secs comme pour manifester une certaine impatience. J’ai bondi du lit, complètement perdu, Stéphane n’était plus là, je me suis précipité dans le salon, je l’ai vu, en train d’enfiler un T-shirt et un boxer à la hâte, il m’a fait signe de ne pas faire de bruit, m’a balancé mes fringues, m’a poussé dans la salle de bains et, d’une voix à peine ...