Dominique, mon professeur d'art culinaire.
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Cassou57, Source: Hds
... des points.. Dominique me fit comprendre qu'il ne voulait pas d'ennui et qu'il essayait depuis quelques temps déjà d'éviter mes regards insistants, refusant de se laisser emporter par la fougue qui lentement s'emparait de lui. Il me mit mal allaise en me confiant qu'il me trouvait très jolie et en même temps il attisa mon appétit.
Au final, il m'a embrassé avec douceur mais l'étreinte qui suivi fut brève..
Nous nous sommes séparé comme deux aimants qui se repoussent, apeuré par ce que nous venions de tenter. Mais la fièvre s'est rapidement glissée dans mon bas ventre et la suite fut brûlante.. Je me suis accroché à son cou sans que cette fois nous puissions nous détacher.
Nous sommes allé dans la remise où nous avons fait l'amour, nous enfermant à clef pour assouvir notre soif soudaine de sexe. Il a prit ma nature avec grande attention, léchant mon minou trempé avant de s'y introduire.
Tout se passa tellement naturellement que je n'ai pas eu le temps de voir son membre.. En revanche, lorsqu'il m'a pénétré, j'ai été stupéfaite de constater l'élasticité de ma petite chatte.. Mon dieu, quelle grosse bite !! Jamais des vas et viens ne m'ont faite autant procurer de plaisir! Je me savais clitoridienne mais je me decouvrait vaginale, me delectant orgasme après orgasme de ses puissants coïts. Le contact de son corps massif me laissa une incroyable emprunte.. Nous étions hors du temps, uniquement préoccuper de nous donner l'un à l'autre, comme si le lendemain tout serais ...
... devenu impossible.
Il y eu ce soir là puis il y eu le lendemain et le surlendemain à son appartement. Toutes les positions y passaient et je le laissais me prendre comme une marionnettes de chiffon. Tantôt à quatre pattes, tantôt en missionnaire.. debout, accrochée à son cou et fermement aggrippée avec mes jambes autour de son bassin.. sous la douche ou à califourchons sur le siège de sa voiture, loin des regards indiscrets. Tout pour lui était bon pour me faire jouir de manière insatiable.
Ma vulve toute entière était fréquemment brûlante d'envie, élargie par sa verge longue et massive, émasculée par son sperme de façon quotidienne, parfois même plusieurs fois par jour. J'adorais cette sensation. Même en marchant, plusieurs heures après un rapport, je pouvais sentir encore le feulement de nos sexes qui s'entrechoquaient. Physiquement, je me sentais bien et certaines parties de mon anatomie avaient changées. Comme pour me préparer à me faire féconder, mes seins avaient étrangement pris du volume.
Je me mettais le plus souvent en petites jupes, uniforme du lycée que j'avais faites un peu raccourci pour l'exciter.
Notre relation était des plus discrète et lorsque nous ne pouvions nous abandonner par faute de temps, c'est ma bouche qui servait à lui procurer du plaisir.
J'aimais cette pratique tout autant que lui et mes felations finissaient invariablement de la même manière : langue pendante, lèvres larges ouvertes, fixant ses yeux, attendant qu'il se termine en ...