1. Piégée et forcée


    Datte: 04/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    Je vais publier une série d'histoire que j'avais écrite dans un autre site en 2017.
    
    J’espère que vous vous régalerez.
    
    Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m’entraînait. Un couple libertin rencontré en vacances un soir me dirent :
    
    « Tu devrais tenter l'expérience car en toi sommeille une soumise inavouée qui ne demande qu'à se révéler. »
    
    Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration. Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient devant moi sans honte. Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.
    
    Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour. Trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement, des ouvriers sont arrivés. Je ne les ai pas entendus mais ils m'ont surpris entrain de me caresser. Je me suis précipitée vers mes amis, et pour mon malheur, les ouvriers ont suivi.
    
    Au lieu de me protéger, cet enfoiré de Louis dit aux ...
    ... ouvriers sans complexe alors qu'Anna avait encorre sa queue dans la bouche :
    
    « Les gars, vous devriez vous occuper d'elle, Cette salope a envie de sexe mais n'ose pas !»
    
    J'étais blême et je l'aurais tué.
    
    « Pas de problème, on va la décoincer vo'te copine !» Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis.
    
    Il sont devenus rapidement très entreprenants avec moi. Anna avait disparu. Mais était-elle passée ? Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises. Louis les a rejoint en m'ordonnant :
    
    « A genoux chienne ! »
    
    Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe devant mon visage, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire.
    
    « Suce-le » criait un des ouvriers en me guidant la tête saur sa queue. J'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir ouvrir la bouche et engouffrer sa queue bien dure. Ils me touchaient les seins comme des malades en les malmenant et leurs donnant des claques.
    
    L'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris en gorge profonde. Ca m'a fait comme un électrochoc. Un des ouvriers me tenait par les cheveux et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le ...
«12»