Soirée à Versailles - Histoires de Sexe

Soirée à Versailles

... seins. Je suis à genoux sur un épais et confortable tapis, la bouche pleine, la robe retroussée, le nez dans une chatte et me mets à rêver que vous êtes derrière moi, que vous appréciez le spectacle, et que si vous étiez là, vous enfileriez peut-être votre sexe dans mon antre de chienne humide offerte à votre plaisir.

Ensuite c’est au tour de Monsieur de s’asseoir dans le fauteuil, il veut encore que je le suce. Il continue à s’occuper des seins de Madame dont c’est visiblement la partie la plus érogène de son corps. Je commence à jouer avec les testicules et le sexe de Monsieur qui semble m’avoir provisoirement oubliée. Je m’efforce de ramener son attention sur moi, j’y parviens en prenant une puis deux boules dans ma bouche et jouant avec ma langue, il gémit de plaisir et se masturbe. Elle s’écarte pour profiter du spectacle sous un meilleur angle en se caressant toujours les seins et se pinçant les tétons avec délice. J’envie cette sensation que je devine et ne ressens pas depuis une opération des seins. Elle pose une main sur mes fesses et lui exulte et éjacule immédiatement devant ce spectacle, un peu déçu après coup, de ne pas avoir eu le temps de mettre mon visage sur la trajectoire, mais ce n’est que la fin du premier round, il y en aura trois en tout…

Une petite pause champagne est la bienvenue, nous avions prévu de commander des pizzas, mais il est trop tard, le premier échange a duré trop longtemps. De toute façon, je suis encore trop excitée pour avoir ...

... faim, en revanche je suis assoiffée et je demande de l’eau, j’ai déjà beaucoup haleté et transpiré et la partie est loin d’être finie. Ils m’ont réservé une chambre d’hôtel et comptent bien profiter de moi au maximum.

Nous recommençons à jouer les pipelettes, mais quand Monsieur est remis de son premier jet de sperme, il recommence à me caresser. Il a bien compris qu’il allait me faire taire en quelques secondes. Et ça marche très bien. J’ai retiré une des bretelles de ma robe, il s’égare sur mon sein brièvement, mais revient très vite à ceux de sa Dame et me fourre la tête dedans. Je m’applique à sucer le téton durci, moi aussi j’aime les seins des femmes. J’aimerais pouvoir m’occuper dignement de son clitoris, mais je n’en aurai jamais véritablement l’occasion. Elle ne me léchera pas vraiment non plus, à mon grand désespoir, et elle ne me laissera que partiellement accès à son intimité, sur des temps très courts et uniquement pour le plaisir des yeux de Monsieur.

Nous nous installons à présent sur le canapé, Monsieur trônant au milieu de ses deux femelles pour la soirée. Il ne sait plus où donner de la tête, il commence à se faire sucer par elle, s’autorise à la tenir par les cheveux, mais rien de plus. Devant la réserve de Madame et la différence de traitement entre les deux femmes, je commence à comprendre : je suis la chienne qu’elle n’ose pas être, je suis la salope qui va se faire enculer à sa place, la pute qui va se faire défoncer la gorge, elle va nous mater, et ...