18 Maîtres Ch. 06
Datte: 03/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... fois sexuellement et professionnellement, ils s'assureront que je ne sois jamais sans emploi.
Je n'ai pas encore vu ma « cellule ». Ils me disent que c'est adorable : un lit où ils peuvent m'immobiliser complétement, un banc de bondage, un placard plein d'instruments conçus pour me faire mal (des fouets, des cravaches, des cannes, de la cire, des aiguillons électriques), une salle de bain assez grande pour une orgie et un espace où ils peuvent m'attacher. Ai-je dit qu'il n'y avait plus de mots de sécurité? Mais il faut que je leur dise si je suis blessée. Ils ne veulent pas casser leur jouet, mais je ne peux pas les empêcher de faire quoi que ce soit d'autres à part des cicatrices.
Ils m'ont fait accepter un tatouage, une chaîne avec 18 anneaux sur mon bas-ventre. Quand ils me libèreront, s'ils me libèrent, je pourrai leur demander de payer pour l'enlever. Je sais que le tatoueur attend déjà pour me marquer comme esclave, et probablement me baiser quand il aura fini.
Le sperme démange, sèche et s'écaille. Ils m'ont donné trois jours pour réfléchir à leur offre, trois jours sans me toucher, me parler ou m'utiliser. Je suis tellement habituée à avoir mes trous remplis que c'est atroce pour moi de ne plus avoir de rapports sexuels. Bien sûr, ils m'ont dit que je pouvais me faire plaisir moi-même, chose qu'il m'avait interdite à moins d'être là pour regarder. Mais cela ne suffit ...
... pas à combler mon besoin. J'ai besoin d'eux, des 18, de toutes les 18 queues. Je commence à rejouer dans ma tête les meilleures fois où ils m'ont baisée. Mais ça me rend folle. Je peux à peine me toucher dans cette cage, ni me frotter à quoi que ce soit.
Quand je suis entrée pour signer le contrat, j'étais tellement excitée que j'aurais pu baiser tous les gars dans la pièce. Après avoir coupé mes vêtements et m'avoir fait mettre à genoux, les yeux bandés, ils m'ont demandé de sucer des bites, et il y avait beaucoup de queues. Je pouvais dire que certaines étaient celles de mes Maîtres car après des centaines de fellation je pouvais les reconnaitre par le goût et la façon de se vider dans ma gorge. Mais d'autres étaient réellement de nouvelles queues. Ils sortaient de ma bouche et giclaient sur mon visage, mes cheveux et mes seins. C'était surement des gens de l'entreprise. Ce souvenir m'apporte une nouvelle vague de frustration sexuelle, en pensant que ma bouche était pleine mais que le reste était vide.
J'entends des sons. Je sens la cage trembler. Quelqu'un enlève mon bandeau. Je suis toujours nue. Je suis toujours dans une cage. Je suis toujours couverte de sperme. Mes pieds et mes mains sont toujours liés. J'ai donné ma vie aux 18 hommes qui me dévisagent. Je pense que c'est la chose la plus brillante ou la plus stupide que je n'ai jamais faite. Ou les deux...
A suivre...