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Astrid et Julia (19)
Datte: 03/01/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... hard. Jo redresse ses jambes et s’avance sur le dos de ma compagne, bien en avant. On voit désormais les deux bites visibles qui remplissent la foufoune et l’anus de ma compagne. Je prends une bombe de lubrifiant et j’asperge ma queue d’abord puis son rectum ; c’est là que j’ai choisi d’aller. Je tente une première pénétration, puis une seconde : échec. Je me présente un peu plus sur le côté. Un cri de Julia, j’y suis. De la voir ainsi triplement prise booste mon énergie. Peu de place pour bouger, mais je vais jouir en quelques secondes dans son fondement. Elle le sent et manifeste sa joie : — Oh, mon chéri, tu m’as inondée de ta semence. Je suis heureuse de t’avoir accordé ce privilège. Je n’ai pas fini, mais c’est sans importance. Les deux hardeurs vont alors sortir d’elle et éjaculer sur son visage. Elle avale tout. La soirée va alors continuer et se transformer en une vaste orgie jusqu’au petit matin. Le Cialis et le Viagra vont faire en sorte que chaque homme pourra faire l’amour à une femme différente sans aucune défaillance. Pour ma part, je ne me suis pas privé de me faire faire une cravate de notaire par Caroline la pharmacienne ; j’ai éjaculé sur ses seins somptueux ; et de craquer pour la première fois le cul de Sabine, la copine de fac de Julia. Je l’ai tellement défoncée qu’elle ne va pas pouvoir s’asseoir pendant plusieurs ...
... jours. En fait, c’est ce que j’ai cru, car je l’ai surprise une heure plus tard en pleine sodomisation par Max le hardeur... Elle avait l’air d’aimer ça ! Peu à peu, nos invités s’en vont. Ils nous félicitent tous pour cette soirée réussie. Astrid va se coucher et me laisse seul avec Julia. Nous sommes nus tous les deux. On se serre dans les bras l’un de l’autre. On se dit des mots d’amour, Julia est tellement heureuse de ma demande en mariage avec l’accord de sa mère. Je lui dis que je veux vraiment un enfant d’elle, que c’est mon désir le plus profond. Elle éclate en sanglots et me promet que ce sera le plus beau bébé du monde. EPILOGUE : Nous nous sommes mariés à la mairie huit mois plus tard. Julia était enceinte de cinq mois. La réception a été à l’image de notre vie de débauche, débridée. D’autant que le fantasme de beaucoup d’hommes et de femmes a été assouvi : faire l’amour à une femme enceinte. Nous vivons toujours tous les quatre ensemble : Astrid ; heureuse grand-mère ; Julia, notre fille : Lucie ; l’enfant de l’amour ; et moi. Ma vie sexuelle n’a pas changé et reste toujours partagée de manière identique entre mes deux femmes. Je suis, paraît-il, un très bon père. Elles me le rendent bien et sont toujours aussi amoureuses de moi, sans qu’aucune jalousie n’apparaisse de la part de l’une ou l’autre. Le bonheur quoi ! FIN