1. COLLECTION BLACK. Mon fantasme (1/3)


    Datte: 02/01/2020, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... avoir l’entrent jambes qui s’échauffaient par moments, surtout le soir dans mon lit.
    
    Mes doigts arrivaient à éteindre l’incendie quand je caressais la petite excroissance en haut de ma chatte.
    
    Dans notre milieu, j’étais entouré d’hommes et de quelques jeunes, mais l’arrivée et le départ des uns et des autres ne facilitaient pas notre rapprochement.
    
    J’ai passé ces années-là à lire l’intégralité ou presque de la bibliothèque de la base.
    
    Certains de ces livres m’ont appris, comment on jouait au papa et à la maman, mais aucun ne m’a mise en garde qu’à ce jeu, je risquais de me brûler.
    
    Sambou quand il a vu que je le regardais, n’a pas essayé de cacher sa tige, je dis bien tige, car sa verge était longue et fine.
    
    Il a continué à se préparer et j’ai continué à le regarder.
    
    Le bruit dans la maison de l’un de mes parents m’a obligé à battre en retraite.
    
    Les jours suivants, je suis levé de bonne heure pour voir le lever du soleil.
    
    Autant, je fantasmais sur le sexe de Sambou autant celui de Diop plus gros et bien plus court me laissait indifférente.
    
    Pendant trois ou quatre matins, j’ai regardé mon sexe préféré, Diop pensant que je m’intéressais à lui, s’amusais avec son petit bout jusqu’à ce qu’un jour, il me le présente dans toute sa force, c’est à cette occasion que j’ai vue, qu’il pouvait presque doubler de longueur.
    
    Les deux jours suivants, je regardais Sambou et j’imaginais la longueur qu’il pouvait atteindre si je le provoquais.
    
    Devant la ...
    ... porte-fenêtre de ma chambre, j’avais à ma disposition une chaise en rotin du même genre que celle, que j’avais vue dans un de mes livres et qui était l’objet mythique d’une certaine Emmanuelle.
    
    Ce matin-là, Sambou était seul, Diop était parti aider des boys d’un bungalow voisin où l’un était malade pour servir les propriétaires, qui fêtaient leur anniversaire de mariage et où nous étions invités.
    
    Mes parents y étaient allés et j’avais décliné, leur fille était collante et je me demande si sa nature ne la portait pas vers notre propre sexe, je la trouvais un peu trop caressante à mon goût, du moins pour moi.
    
    Je connaissais ce que l’appellation lesbienne voulait dire, toujours la bibliothèque ou dans un coin sur le haut d’une étagère, un petit malin avait placé des livres érotiques, hélas aucun n’avait de photos ou de dessins les illustrant.
    
    Je n’ignorais pas que tous se coucheraient tard et que je risquais de ne pas me réveiller pour admirer mon lever de soleil.
    
    Me sentant en sécurité du côté de mes parents, je me suis assise dans la chaise et j’ai replié l’une de mes jambes vers ma figure, j’ai posé mes mains et mon menton sur mon genou, jamais, je n’avais pris une position aussi provocante, elle permettait à Sambou de voir ma féminité et surtout ma toison qui avait énormément poussé les mois derniers en même temps que mes seins se développaient.
    
    Quand je parle de mes seins, ils ne pouvaient pas les voir, j’avais gardé mon maillot publicitaire.
    
    Il me regardait ...
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