1. Moi, ma soeur jumelle et notre cousine (2)


    Datte: 02/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Will pas-sage, Source: Xstory

    ... léchais goulûment les seins, elle me dit :
    
    — Prends ma crème s’il te plait.
    
    Il faut dire que ma sœur prenait à cette époque de la crème anti-vergetures. Elle se mit alors à genoux, posa la tête sur le lit, écarta ses fesses tout en me signifiant qu’elle voulait que je sois doux.
    
    Je ne me le fis pas dire deux fois. Je mettais une noisette de crème sur mon doigt, et commença à lubrifier son petit trou. Je m’étonnais de l’absence d’excréments, et elle m’expliqua que notre cousine lui avait fait un lavement.
    
    Une fois son anus bien lubrifié, je me plaçais derrière elle, et guidait ma verge vers son entrée. Je pénétrais lentement, me délectant de cette sensation. C’était serré, chaud et doux, tellement que j’avais dû forcer un peu pour rentrer.
    
    Ma sœur n’eut pas l’air d’avoir mal, et commença au fur et à mesure à haleter au rythme de mes vas et-viens. Je me suis ménagé autant que possible, tout en essayant de nous procurer à tous deux un maximum de plaisir. Je lui giflais à quatre ou cinq reprises les fesses, et elle gémit tout en m’insultant à tort et à travers.
    
    Je me relevais alors avec elle, et en profitais pour l’embrasser dans le cou, lui malaxer les seins, puis lui glissais deux doigts dans sa chatte.
    
    Cependant, je ne durais pas plus de cinq minutes, tellement ce fut bon, et je me déchargeais au fond d’elle, dans un râle de pur bonheur.
    
    La coquine, n’ayant pas joui, se plaça ensuite au-dessus de moi, plaçant son puits d’amour sur ma bouche, et ...
    ... j’entrepris de la lécher. Après quelques minutes de ce traitement, elle jouit sur moi, coulant abondamment sur mon visage.
    
    Puis, remis nos émotions, nous sommes allés nous doucher, mais ce que nous n’avions pas remarqué jusqu’à présent, était le petit point rouge dissimulé derrière un placard à vêtement...
    
    Le lendemain, nous sommes allés marcher dans les hauts de Sainte-Marie, et Caro ne se sentait pas bien. Après 15 minutes de marche, Tatie Elizabeth me dit de la raccompagner en bas et de les attendre dans la voiture. Il faut dire que pour ma tante, le sport est sacré, et ma sœur décida de me laisser tomber. Nous descendîmes donc du sentier et retournâmes à notre voiture. Étrangement, il n’y avait personne sur le parking.
    
    Une fois installée à l’arrière, Caroline entreprit d’enlever son tee-shirt et son soutien-gorge, prétextant étouffer. Je voulus sortir, gêné, et elle me retint:
    
    — C’est bon, ne fais pas ton timide, t’as déjà dû voir la poitrine de ta sœur, alors rassure-toi, en comparaison, la mienne ne va pas te manger.
    
    Je rentrais donc, mais passais à la place passager, et tournais la tête vers l’extérieur pour éviter de la regarder. Cependant, l’imaginer presque nue à quelques centimètres de moi m’excitait terriblement et je ne pus cacher mon érection. Lorsqu’elle s’appuya sur moi, et commença à me caresser à travers mes vêtements je la repoussais:
    
    — Mais tu fais quoi là ?
    
    — Ça ne te dérange pas quand c’est Angélique...
    
    — Je ne vois pas de quoi tu ...