1. Le voisin est un pur-sang (8)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... l’autre il te dilate la raie ?
    
    - Oh oui...
    
    Alors, je dus me mettre sur le dos. Roselyne vint se ficher la chatte sur mon pieu, face contre la mienne, tendant son fion à Germain.
    
    - Non, pas de gel... j’veux le sentir passer. Il est si gros. Prends-moi comme une bête.
    
    Germain lâcha donc le tube et sans aucune préparation se mit à la déchirer.
    
    - Aaahh !
    
    - Tu voulais à sec, tu l’as à sec salope... enfin si on peut dire. Tu mouilles tellement du cul !
    
    - Aaah c’est gros, c’est dur ! T’as une bite en bois ma parole.
    
    Je sentis la pression exercée par le membre géant de Germain contre le mien, toujours le même sentiment de presque toucher ce zob gigantesque ce qui décuple mon excitation. Après je n’eus pas à bouger. Les coups de Germain étant tellement vigoureux qu’il faisait le boulot tout seul.
    
    Michel et ma femme s’étaient mis contre nous, à hauteur de ma tête pour que je puisse bien voir le mec s’acharner dans le cul.
    
    Puis, il retira son mandrin, se mit de la salive sur les doigts, caressa la vulve et changea de trou avec un gros ouf de satisfaction.
    
    - Ouais, trop bon, elle est étroite comme une jeune mariée. La vache, qu’est-ce qu’on est bien dedans. Qui pour une double avec moi ?
    
    Je me serai bien proposé mais, placé ou j’étais, je n’avais pas la main.
    
    Germain se retira aussitôt. Ils mirent Anne-So sur le côté et la prirent en Sandwich, un dans chaque orifice.
    
    De mon côté, je retournai l’autre gueuse sans ménagement et entreprit de la ...
    ... sodomiser à mon tour sans chichi. Bien que plus serré que son con, le trou duc cul me parut lui aussi assez dilaté, plus en tout cas que celui de mon épouse. J’y entrai sans problème et me mis à y coulisser avec autant de facilité que dans le vagin, à tel point qu’on aurait cru ce cul enduit de cyprine ou de gel.
    
    De la sorte je ne perdis rien des deux gars démontant ma femme. Et j’aurai bien voulu en avoir ma part aussi car elle est franchement plus belle et mieux faite que Roselyne.
    
    Anne-Sophie se laissait faire mais on aurait dit qu’elle subissait. Elle ne parlait presque pas, gémissait à peine ce qui excitait les mâles et notamment Michel.
    
    - Putain, elle a l’air dure à faire jouir ta copine là. On voit qu’elle est montée souvent et qu’il faut pas faire que de lui en promettre. Mais attends, on va bien te ramoner salope, on va te faire couiner. Tu vas te pâmer ma belle !
    
    La prétention de ce mec m’exaspérait. A part sa queue, il n’avait rien pour lui... si l’endurance quand même.
    
    Germain, dans le cul, ne faiblissait pas. Il donnait de violents coups de bite, très profonds, assez rapidement. De temps en temps il s’arrêtait, laissant l’autre se démener comme un beau diable dans la chatte et, pendant ce temps, je voyais qu’il susurrait quelque chose à l’oreille de ma femme. De sa main libre, il lui pinçait assez fortement l’un ou l’autre des tétons qui étaient gonflés comme jamais.
    
    - Aller, entre les nichons là.
    
    Et Michel se mit à faire coulisser son chibre ...
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