23 avril-6juin
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
jardin,
cinéma,
toilettes,
strip,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... photos de l’Ecole militaire et de la Tour Eiffel entrecoupée de quelques-unes de ma chérie. Dans une allée latérale, alors que je la photographie, avec un petit air coquin elle fait voleter sa jupe si haut que je vois son slip.
— Cela fait du bien, ça aère.
— Partiellement.
— Pourquoi partiellement ?
— Pour bien aérer, il faudrait que tu retires ta culotte.
— Dehors !
— C’est toi qui parle de t’aérer, c’est à toi de voir jusqu’où tu as trop chaud.
Elle hésite une seconde et regarde autour d’elle avant de dire en retirant son slip :
— J’ai vraiment très chaud.
Elle me le lance. Je le glisse dans ma poche.
— Qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! C’est la première fois que je me promène les fesses à l’air dans la rue.
Là dessus elle fait une pirouette qui fait voler sa jupette J’ai le réflexe de prendre une photo au moment où elle remontait le plus haut, m’offrant une charmante vision du postérieur de Dominique. Nous quittons le Champ de Mars et traversons la Seine par le Pont d’Iéna. Nous allons dans les jardins du Trocadéro. Chaque fois que personne n’est en vue, Dominique s’arrange pour me dévoiler ses charmes. Elle se penche en avant et remonte sa jupe jusqu’à la taille, ou bien se met face à moi et la soulève complètement. Un peu plus tard, elle va s’asseoir sur un banc et pose ses pieds bien écartés dessus. Elle dirige ses mains vers son sexe et commence à le caresser, insistant sur son petit bouton. Elle écarte délicatement ses lèvres et glisse ...
... un doigt dans son vagin luisant. Par deux fois je lui dis qu’il y a du passage dans l’allée derrière elle, mais elle continue. De mon côté, je la prends en photo s’astiquant le minou avec, en arrière-plan, les passants ne se doutant de rien. Un promeneur arrivant dans notre allée, elle retire précipitamment ses mains et repose ses pieds à terre. Je vais la rejoindre sur le banc.
— Hé bien, ma puce, tu te dévergondes. Toi qui tout à l’heure hésitais à retirer ta culotte, voilà que tu te caresses, jupe retroussée, sur un banc public.
— Au début je voulais faire un peu de provocation. Et puis je ne sais pas ce qui m’a pris. Imagine si quelqu’un m’avait surprise ! Je serais morte de honte. Redonne-moi mon slip, je crois que j’ai eu assez d’émotion pour aujourd’hui.
Je le lui rends de bonne grâce. Elle s’assure qu’il n’y a personne à l’horizon et le renfile. Nous poursuivons notre promenade. Sur un dernier baiser, nous nous séparons à Saint Germain l’Auxerrois. Chacun retourne chez soi.
Le matin, en venant à la bibliothèque, je dépose les pellicules de la veille chez le photographe, avec les mêmes consignes que la première fois, et récupère les photos prises à la bibliothèque. Elles sont très chaudes. Entre autres, il y en a une où ma chérie est allongée sur le bureau, talons aux fesses et jambes écartées. On voit nettement les traînées de mon sperme sur son pubis et son ventre, et elle se prépare à mettre un doigt dans son intimité. Des clichés d’elle lorsqu’elle était ...