1. 23 avril-6juin


    Datte: 02/01/2020, Catégories: fh, jeunes, alliance, Collègues / Travail jardin, cinéma, toilettes, strip, photofilm, Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Oh non ! Ne t’arrête pas… continue… continue.
    
    Je replonge donc et elle aussi. Elle conserve mon sexe dans sa bouche quand je m’y répands, mais je poursuis mon travail de la langue et des lèvres. Rapidement, Dominique ondule et pousse un râle profond.
    
    — Alors ma puce, tes impressions ? Etait-ce si terrible que ça ? dis-je en me remettant dans le même sens qu’elle.
    — Non. Mais il y a bien un petit goût
    — Ça ne t’as pas empêchée d’avaler.
    — Il y a un petit goût, mais il n’est pas désagréable. De toute façon, je n’allais pas recracher sur tes draps. Et je n’allais pas me lever. Je ne voulais pas que tu arrêtes, je sentais que ça venait.
    — Alors, un double merci. Un de ma part et un de la part de mes draps. Eux, je ne sais pas ce qu’ils vont faire, mais moi je vais te faire un gros bisou.
    
    Je l’attire sur moi et lui donne le bisou promis. Comme elle se redresse pour prendre son souffle, son regard tombe sur le réveil.
    
    — Il est minuit, j’avais promis à Maman de rentrer avant minuit. Il faut que je rentre.
    — Je n’ai pas de voiture. À Paris, je trouve ça inutile, mais je vais te raccompagner jusqu’à ta porte. Avant il vaut mieux que nous prenions quand même une petite douche, ne crois-tu pas ?
    
    Ainsi fut fait. L’habillage est express. Nous avons la chance d’avoir un métro presque tout de suite. Durant le trajet, je lui propose d’aller le lendemain soir au cinéma après avoir grignoté à la bibliothèque, car en finissant à sept heures c’est un peu juste pour aller ...
    ... au restaurant. Elle est d’accord. Je la laisse devant chez elle après un dernier baiser. À mon retour Sekhmet me fait des reproches. Je la gratouille entre les oreilles en lui expliquant que désormais elle n’aura plus le monopole des câlins.
    
    Dominique est à l’heure. Je la sens plus motivée. La journée de travail se passe, comme la veille, de manière plutôt calme. Les échanges du matin n’ont pas toujours un caractère très professionnel. Les petits mots tendres s’y glissent souvent. Le midi, en revenant de déjeuner, nous faisons quelques emplettes pour le casse-croûte d’avant le cinéma et l’officiel des spectacles. Nous décidons d’aller voir « Les magiciens », réalisé par Claude Chabrol, avec Jean Rochefort, Franco Nero et Stefania Sandrelli. Après la fermeture, nous prenons notre en-cas et nous rendons à la salle que nous avions choisie. Il n’y a pas foule. Nous prenons place au dernier rang où personne d’autre ne s’installe. Nous nous bécotons un peu pendant la pub et sommes à peu près sages pendant l’entracte. Quand la salle redevient obscure, je pose ma main sur les genoux de Dominique. Je lui fais parcourir ses cuisses, en remontant à chaque fois un peu plus haut. Je frôle à plusieurs reprises le tissu de sa culotte. Je retire ma main pour passer mon bras autour de son cou. Elle pose sa tête sur mon épaule. Nous regardons un peu le film ainsi, tendrement enlacés. Je finis par lui prendre le menton de mon autre main et relever son visage vers le mien. Je m’empare de ses ...
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