Isabelle, grosse et petite mais belle
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Auteur: noomoakh, Source: xHamster
... retourna, c’était le plus belle vision Qu’il m’avait été permit de voir. Un ventre parfaitement plat. Des hanches larges et des seins gigantesques qui tombaient un peu sous leur poids.
— Alors, je te plais comme cela ?
— Ouf, tu es magnifique… Tu fais du sport ?
— Oui, beaucoup de natation et un peu de musculation. Mais assez parlé, déshabille toi, et rejoint moi sous la douche. Il Faut une peau parfaitement propre pour l’épilation.
Elle se retourna et alla dans la douche spécialement aménagée pour les rares filles de l’escadrille. Une fois l’eau à bonne température elle se glissa sous le jet et se caressa tout le corps avec du gel douche. Elle me fit signe de la rejoindre. Elle commença par me laver la tête, puis le torse, les fesses, les cuisses et les jambes.
— Très belle queue que tu as l’as. J’espère qu’elle est endurante ?
— Oui, j’arrive à jouir trois fois dans la journée.
— C’est tout ? Il va te falloir des médocs pour assouvir mon appétit. Dit-elle en se relevant. Allez séchons nous et allons dans le vestiaire.
Une fois Séché, elle s’installa sur une table, jambes écartées et me donna un gant en plastique pour lui passer la crème. Après l’application et le temps de pose, elle partit sous la douche se rincer, s’appliqua elle-même la crème apaisante. Elle était ravissante avec son abricot tout lisse. Elle me fit sortir du vestiaire, nu, et se dirigea vers un Nord 262 (avion de transport de passager).
— C’est là que je veux me faire ...
... baisser. Installe-toi et laisse-moi faire.
Je ne fis pas prier et m’installa dans un fauteuil. Elle se mit dans le fauteuil me faisant face et écarta les jambes au maximum. Elle commença par se caresser les seins, se pincer les tétons. Ils se dressèrent presque aussitôt. Elle se les lécha, mordilla. Elle avait fermé les yeux et soupirait. Puis elle fit descendre ses deux mains vers son sexe et en écarta ses grandes lèvres. Doucement, elle s’excitait le clitoris. Je me masturbais lentement, moi le mari qui allait cocufier sa femme. Elle ouvrit les yeux. Le spectacle, que je lui offrais, semblait lui plaire car elle me souriait. Elle entra directement trois doigts dans sa caverne d’amour, puis elle les sortit et me le donna à lécher. Qu’ils sentaient bon, un délice. Pendant de longues minutes, elle recommença le même manège. Se plantant la main entière et me la donnant à nettoyer. Plus le temps passait, plus sa main était trempée de son jus. Je me délectais de ces offrandes. Puis elle se leva et vint goûter à ses secrétions dans un baiser brûlant. Nos langues jouèrent une partie de cache-cache interminable. Elle saisit ma verge gorgée de sang et me masturba lentement. Elle se retourna et s’agenouilla dos à moi, sur le fauteuil qu me faisait face.
— Prend moi fort, baise moi comme une pute, j’en ai envie Hervé…
N’écoutant que ma bite,je me levai et la pénétra, d’un coup sec et violent, son sexe détrempé. Et ce fut une longue cavalcade. Ressortant entièrement ma bite et la ...