1. Le harem de famille (2)


    Datte: 01/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: canis, Source: Xstory

    ... décharge à foutre, une vide-burnes de famille. On joue à la traiter comme une esclave sexuelle, et elle aime cela, dominée par les deux mâles et aussi par ses deux maîtresses.
    
    Sylvie bat tous les records en puissance, capable d’envoyer un jet de cyprine à plusieurs mètres et de couler comme une fontaine des heures durant. Les trois femelles se complètent en temps normal, mais deux ne sont plus très opérationnelles, donc c’est Sylvie qui en prend pour trois.
    
    Comme suceuse, difficile de faire mieux ; elle prend les bites en entier, même la mienne qui est, il faut le dire, de taille imposante, tout comme celle du cousin. De plus, elle a une technique pour lécher les bourses, fruit de beaucoup de pratique ; et si on lui demande où elle a appris, elle répond que son père l’a violée régulièrement, jusqu’à ce qu’elle s’enfuie à 17 ans. Lui, il lui demande d’être une salope qui prend des coups si elle ne fait pas comme son porc de père veut. En plus, son père n’a qu’une toute petite bite ; rien à voir avec notre matos. Sylvie aime nonobstant notre manière de lui faire l’amour ; la capacité à s’adapter aux situations selon ses envies, bestiales ou tendres, hard ou câlines, mais non négociables : c’est du jus plein le ventre et les tripes qu’elle veut. Elle aime se sentir grosse pute pleine, qui baigne dans un jus visqueux et collant, les trous qui vomissent des rivières de sperme et de cyprine.
    
    Notre relation-partouze dure quatre longues années d’amour et de baise. Nos ...
    ... enfants – une fille avec Sophie, et un garçon avec Rachel, nés à quelques jours d’intervalle – connaissent deux mamans, un papa et un oncle, ainsi que Sylvie qui devient la femme de mon cousin, qui lui fait aussi deux enfants ; mais il n’est pas rare que nous fassions encore des partouzes entre majeurs, et même si les enfants ne participent pas encore, et qui sont chez la mamie, ils savent pourquoi – ou du moins ils le supposent – qu’un jour ils viendront découvrir le sexe avec nous, les garçons dépucelés par leur mère, et les filles décapsulées par leur père.
    
    Nous sommes à tendance candauliste ou presque, mais en famille seulement, et les femmes aiment cela. Et le fait que nous vivons tous nus la plupart du temps n’a jamais posé de problème ; dans les endroits où nous sommes l’été, même les touristes sont à poil dans le village : c’est un des trop rares endroits en France où le naturisme a sa place, et complimenter une femme sur son épilation pubienne et sur la beauté de sa fente ou de ses seins est chose aisée. Mais nous, notre famille n’est pas prêteuse avec des inconnus, et les partouzes sont légion, partout dans le village. L’été, quand tu es invité pour une soirée, c’est presque toujours sexuel ; un mec, une femme qui nique dans tous les coins, parfois à plusieurs, mais le plus souvent protégé, quel gâchis ! User du sperme et de la cyprine pour rien… Il n’y a pas mieux que les baises consentantes entre adultes de la même famille et du reste de la lignée familiale proche, ...