PARTIE 10 : Suite du flash-back Quentin « Fin ou commencement »
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Liospuman, Source: Hds
... solidement tenu par moi qui suis juste derrière lui totalement nu. Mon sexe commence à durcir, la position m'excite. Il commence à crier
- Lâche moi bâtard, tu es ma larve, tu n'as pas le droit de me porter main !
- Tous ça est terminé, je ne suis plus ton bâtard, tu seras le mien maintenant.
- Quoi ? Mais tu n'as pas le droit !
Je commence à fouiller son pantalon pour le retirer, mais se débats comme un fou. Je finis par l’arraché laissant son cul a ma disposition. Ses deux mains étant maintenues à l'avant par une seule des miennes, j'ai tout le loisir d'introduire un doigt dans son anus serré. En appliquant une forte pression le doigt rentré, mais c'est sur jamais rien d'autre est entrée par là. Il hurle de douleur et m'exhorte d'arrêter immédiatement. Je fais des aller-retour avec mon doigt question de ne pas totalement m'arracher la peau de la bite en le pénétrant. Je suis dans un état de transe, entre colère et envie, je plane complètement, comme après avoir consommé des drogues. Je n'ai plus les idées claires, mais une seule chose domine ma pensée. La colère, la colère d'avoir été soumis comme un chien, la perte d'Icham, le chamboulement de ma vie. À cet instant, je suis sur d'une chose, c'est que si je me venge de Marc, tout reviendra à la normale. Alors je rajoute deux doigts dans son cul. Il hurle de plus bel, comme un porc a l’abattoir. Cela me fait rire, faut dire que j'ai encore les relents du joint que j'avais fumé avec Icham. Mais son cul est ...
... encore hyper serré, je crache dans ma main et ressayer avec 2 doigts cette fois. Il crie encore plus et mes doigts s'agitent au gré de ses cris. Maintenant Marc pleurer et me supplie de pas faire ça, de tout arrêter, me promet de ne rien dire, de me rendre ma liberté. Ça m'énerve encore plus qu'il croit que je suis toujours son animal domestique. À un tel point que je vois rouge, ma bite prendre directement le chemin de son cul toujours aussi serré et sans autre précaution le déchire. J'avoue avoir souffert aussi, car j'ai l'impression de frotter ma bite contre du papier de verre. Il crie et essayer de se libérer, jusqu'à sentir mon torse contre son dos, signe d'une pénétration total. Il a le souffle coupé, il n'a plus de voix, mais c'est larme continuée a couler en silence. Pour enfoncer le clou, je m'approche de son oreille et lui dit
- Voilà, maintenant, tu es un enculé !
Son petit cul vierge est tellement bon ! Je me déchaîne dedans, bien que le passage soit encore difficile. Mais chacun de mes mouvements dans son fondement le fond réagir. Après quelques minutes, je sens que je suis moins à l'étroit alors j'accélère. Au bout de 10 minutes, je dois changer de position, elle n'est pas géniale, car mes mains sont trop en avant, alors je décide de le tourner, dos au sol et pour le voir en face. Il pleure, son regard et baigner de larme et de tristesse, il ne supplie plus. Je lui crache au visage et le gifle plusieurs fois avec force avant de le re-pénétrer brutalement. Une ...