Le fabuleux destin de Benjamin (6) - Histoires de Sexe

Le fabuleux destin de Benjamin (6)

... mère comme un fou furieux.

Benji et Zita s’étaient installés sur le canapé et Zita montait et descendait sa chatte sur la grosse bite de Benji, pendant qu’il lui bouffait les tétons.

Anita avait vu sa fille et Benji sur le canapé, et avait eu envie d’en faire autant avec son fils, elle proposa à Lucas de les rejoindre sur le canapé.

Lucas s’assit sur le canapé, et Anita vint s’empaler la chatte sur la queue de son fils, elle sortit ses seins de la guêpière et tout en commençant à monter et descendre sur la queue de son fils, elle lui plaqua la bouche sur ses seins et lui dit :

- Vas-y, mon chéri, bouffe bien les nichons de ta salope de mère.

Ce fut à ce moment précis que José, le mari d’Anita arriva dans l’entrée du salon, il avait entendu des gémissements en entrant dans l’appartement, il avait vite posé ses affaires, se demandant qui pouvait bien baiser chez lui à cette heure, il avait tout de suite pensé à sa femme et un amant.

Il fut complètement anéanti en voyant sa femme s’empaler sur la queue de son fils. Celui-ci lui bouffait les nichons, il vit ensuite sa fille pratiquement à poil s’empaler sur la queue de son copain, il fut impressionné par la taille de la bite de Benji, il se dit que sa fille devait prendre son pied avec un tel engin dans la chatte.

José connaissait Benji, et il l’appréciait, il avait trouvé très bien que sa fille un peu délurée soit avec un garçon aussi gentil.

Mais là, il la voyait baiser à côté de sa mère comme deux ...

... salopes, d’un seul coup, il vit Anita et Zita se rapprocher l’une de l’autre pour se rouler une pelle comme deux putains en chaleur.

Il ne savait pas comment réagir, la seule chose qui réagissait en lui, c’était sa queue qui gonflait dans son caleçon.

José travaillait loin de son domicile la semaine et ne rentrait que le WE, il avait une maitresse sur son lieu de travail, il baisait avec la secrétaire de son patron, et elle lui avait vidé les couilles avant de rentrer chez lui.

Mais ce spectacle particulièrement immoral l’excitait, il n’arrivait pas à se maitriser, il continua à les regarder baiser comme des sauvages. Il n’avait pas baisé avec sa femme depuis plusieurs semaines, il se dit qu’elle avait vite trouvé de quoi le remplacer

Il regardait les fesses de sa femme et de sa fille monter et descendre, sa queue commençait à être à l’étroit dans son caleçon, et même s’il avait les couilles vides, il avait bien envie de gouter à la jeune chatte de sa fille.

Il se dit qu’après tout, pourquoi est-ce que sa femme pouvait baiser avec ses enfants et pas lui.

Alors il se déshabilla et s’approcha, la queue bien raide, de ce groupe de pervers.

Personne ne l’avait encore remarqué, mais il était fou d’excitation en entendant gémir de plaisir sa femme et sa fille.

Une fois assez proche, il attrapa Zita et Anita par les cheveux et leur plaqua la bouche sur sa queue bien raide, en leur disant :

- Vous êtes vraiment deux belles putains, toutes les deux, allez-y, ...