1. Nadine, gang-bang au foyer (2)


    Datte: 31/12/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Sexe Interracial Auteur: andred_j, Source: xHamster

    ... étrangement calme même... il y avait deux groupes qui s'observaient en silence mais avec beaucoup d'animosité et de haine entre eux. ...du moins m'avait-il semblé... A moins que ce ne soit avec beaucoup d'impatience... !!!
    
    Au fond de la pièce, sur l'un des canapés il y avait Cadoré qui était allongé immobile recroquevillé en chien de fusil, tourné sur le côté face au dossier et tournant le dos à la pièce. Assis à côté de lui, Karama son copain de toujours. Ils étaient inséparables, étant, m'avaient-ils dit, natifs du même village et étaient arrivés ensemble sur la même embarcation de fortune via la Méditerranée... Ils repartiraient d'ailleurs ensemble aussi par le même charter car leurs demandes de régularisation de papiers avaient été refusées. Comme d'ailleurs la grande majorité s'entre eux, puisque 4 ou 5 seulement avaient eu leur autorisation prolongée de quelques mois....
    
    Autour de Cadoré et de Karama, assis sur des vieux fauteuils ou sur des chauffeuses, ou même carrément assis par terre, entourant le canapé il y avait leurs copains, leur clan, ceux qui venaient du Sénégal.
    
    De l'autre côté de la pièce, sur l'autre canapé, leur faisant face et les regardant en silence mais avec beaucoup d'agressivité, il y avait la bande des Maliens. Là encore certains vautrés sur le canapé et d'autres assis dans des fauteuils ou sur des chaises ou même assis par terre. Les deux groupes s'affrontaient du regard en silence mais avec haine m'avait-il du moins semblé...
    
    Soit ...
    ... debout, appuyés contre les murs, soit assis par terre, il y avait la bande des derniers arrivés, ceux que l'on avait imposé au directeur dernièrement, ceux qui étaient les éléments les plus perturbateurs... essentiellement des arabes... libyens, marocains, algériens…
    
    Vu la chaleur qu'il faisait ils étaient pour la plupart d'entre eux soit en bermudas, soit en caleçons ou shorts, en tee-shirts ou débardeurs, certains même torses nus, luisants de sueur, et tous pratiquement chaussés de tongs ou de baskets...
    
    Au milieu de la pièce il y avait moi, entourée de Momo le gardien, de Youssef l'homme d'entretien et d'Hicham leur copain à l’œil acéré.
    
    Ceux qui étaient tout à l'heure agglutinés dans le hall d'entrée ou assis sur les marches d'escaliers montant à l'étage, ceux qu'il m'avait fallu presque enjamber pour pouvoir passer et qui nous avaient suivis sans que je m'en rende vraiment compte, étaient maintenant à l'entrée de la pièce. Certains étaient rentrés dans la salle de repos avec nous, mais tous les autres, la majorité d'entre eux étaient debout dans l'encadrement de la porte de la pièce, comme s'ils avaient voulu m'en interdire le passage pour ressortir...
    
    Mais dans mon affolement, dans mon souci de professionnalisme, etc., cela encore je ne m'en étais même pas rendu compte...
    
    Avec autorité, j'avais fait écarter tous ceux qui étaient agglutinés autour du canapé où Cadoré était allongé, recroquevillé en tournant le dos. Comme par enchantement et sans rien dire, ...
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