1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (44)


    Datte: 31/12/2019, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Après un repas plus que succulent, un agneau braisé et ses légumes, Maria nous invite à la suivre au salon d’intérieur pour y prendre le dessert et le digestif.
    
    On se retrouve tous les cinq affalés dans les immenses fauteuils du salon. La télé diffuse des clips auxquels on ne prête aucune attention. Il nous est servi un colonel, plutôt un général, qui délit bien des langues, surtout celle de Sérano, le mec de Sélam.
    
    C’est un ancien légionnaire, un ancien colonel. Tombé amoureux de Sélam, il y a dix ans, ils ne se sont plus quittés et s’aime autrement.
    
    — Maria est devenue ma maîtresse, Sélam a toute sa liberté. Nous dit-il en embrassant la jolie négresse.
    
    La soirée se poursuit en nous racontant nos vies. C’est là que j’apprends que Gény est promise à un vieil armateur Grec, et cela ne la réjouit pas. Elle se colle à moi comme à une bouée de sauvetage. Je lui caresse tendrement ses cheveux. Sa main s’égare entre mes cuisses. Je regarde l’assemblée, ils sont tous à se caresser, à s’embrasser. Je ne bouge pas quand la petite novice me libère la queue. Elle me regarde en me souriant. Je l’embrasse tendrement, elle me branle, ce qui a pour effet de me faire gémir. Seule Sélam a réagi. Elle nous regarde avec l’envie d’une tigresse en chaleur.
    
    — On va dans la chambre, dis-je à Gény, on sera mieux.
    
    — Non, je préférerais dehors, ça m’excite...
    
    Elle m’étonne la petite par son aplomb. Elle s’agenouille entre mes cuisses et prend mon sexe dans ses mains et commence ...
    ... à le lécher. Je ne sais si elle a retenue la leçon de Maria et je m’en fou, je jouis instantanément. Je ferme les yeux, réflexe rapidement interrompue par une petite claque sur ma fesse. Elle me sourit avec mon magnum sous sa langue. Son travail est divin, elle le sait. Entre ma hampe, mon méat, mon anneau et mon frein, rien ne lui échappe. Pour une novice, elle sait très bien y faire. Elle gobe mon gland et joue avec mon prince Albert. Je jouis sans qu’aucun fluide ne s’écoule, rien. Une jouissance sèche, c’est la première fois que cela m’arrive.
    
    — Continue, c’est trop bon...
    
    — Je sais, je le vois, je le sens... Me répond-elle en replongeant sur mon gland.
    
    Cela fait dix minutes qu’elle joue à me faire pâmer, et le réussit fort bien. Elle me malaxe les testicules et me masse l’anus avec un art qui ne doit pas être innocent. Elle me fixe avec ses yeux émeraude, me rappelant à l’ordre lorsque que je ferme les miens. Ses claques sont plus sèches, plus virulentes qu’au début, ce qui n’est pas pour me déplaire. Au contraire, je me tasse dans le profond fauteuil et ferme mes mirettes, en attendant mon doux supplice. Ce qui ne tarde pas, toujours plus fort, mais sans me faire réellement mal, entre punition et caresse. Elle exulte, elle jouit sans se toucher, trop absorbée, attentive à ma jouissance, à mon bonheur.
    
    Je veux la lever, la prendre, l’embrocher. Mais elle se défend plutôt bien, elle résiste, continuant son doux et divin travail. Sa petite langue s’affaire sur ...
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