1. Aurélie 2


    Datte: 23/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... choisissant des pièces de lingerie que décrochait la vendeuse. Pendant tout ce temps, je restai là où m’avait placé ma maîtresse, dans la position demandée.
    
    - Lève-toi, que l’on puisse t’essayer ce que j’ai choisi.
    
    Le regard toujours baissé, je me remis debout. Ma maîtresse me délia les mains et désigna un vêtement. La vendeuse me le passa. C’était un corset rigide, qui soulignait le dessous des seins en les remontant, mais en ne les soutenant nullement. En bas, il s’arrêtait sur les hanches. Il me serait difficile, voire impossible de me pencher. Elle donna ensuite des instructions à ma maîtresse.
    
    - Voyez, c’est bien sa taille. Le laçage s’effectue derrière. Comme cela, elle ne peut pas l’atteindre. Pour resserrer, il suffit de tirer chaque lacet comme ceci, et faire un nœud.
    
    Elle tirait les lacets au niveau de chaque œilleton. C’était une opération fastidieuse, le corset en comportait une trentaine de chaque côté. Lorsqu’elle eut fini, je sentis une pression terrible sur tout mon ventre, et une certaine difficulté à respirer. Mes seins jaillirent au-dessus du corset. Ma maîtresse s’approcha et caressa le vêtement.
    
    - ça te plait, boniche ?
    
    - j’ai du mal à respirer, maîtresse, et cela me serre beaucoup.
    
    - Elle va s’y faire, lança la vendeuse. Avec un tel corset, vous pourrez réduire sa taille de cinq à dix centimètres. Mais il faudra y aller doucement. Pas plus d’un centimètre par semaine, à peu près, en tout cas, pas avant trois jours, qu’elle ait le ...
    ... temps de s’habituer.
    
    - Très bien, je le prends. Essayons-en d’autres.
    
    J’en essayai une bonne dizaine, de toutes formes et de toutes matières. Ma maîtresse en retint cinq. Deux en tissu, y compris le premier, deux en latex et un en cuir. A la fin, elle demanda à la vendeuse de me repasser le corset essayé en premier.
    
    C’est ainsi que je ressortis du magasin. La démarche raide que j’étais obligée d’adopter attirait l’attention sur moi, et ma cape qui ne cachait rien de ma nudité retenait encore plus les regards. J’eus du mal à m’asseoir dans la voiture et encore plus à me relever, ma maîtresse m’ayant rattaché les mains avant de sortir du magasin.
    
    Je dus me présenter à mon maître, uniquement vêtue de mon corset. S’il apprécia mes hanches en forme d’amphore, le bombé exagéré de mon pubis, la remontée de mes seins, il n’en pipa pas mot. On ne félicite pas une boniche.
    
    - On pourrait peut-être l’habiller comme cela pour faire le service, ce soir, commença Véronique.
    
    - Je ne crois pas que ce soit une bonne idée rétorqua Frank. Même s’ils sont au courant pour elle, ils n’ont peut-être pas encore une idée de ce qu’elle va devenir. Je pense qu’il faut la garder en tenue de soubrette.
    
    - Avec une culotte ?
    
    - Oui, une culotte haute en maille fantaisie, cela lui ira très bien. Compris, boniche ?
    
    - Oui maître.
    
    - Tous t’appelleront boniche. Tu devras les appeler « madame ou monsieur », pas par leur prénom. Tu dois savoir rester à ta place. Nous, tu continueras à ...
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