1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1278)


    Datte: 23/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... région lyonnaise que moi… Je ne l’ai encore jamais rencontré, mais celui-ci m’inspire confiance. Confiance instaurée au fil de nos correspondances et je dois l’avouer, le rencontrer en réel ne me laissera pas indifférente… Celui-ci m’a donc invité à le découvrir en réel par ce moyen détourné d’un prétexte professionnel. Et ce Walter Wilson, je suppose que ce n’est autre que le fameux Majordome de Monsieur le Marquis, j’avoue que je n’avais pas du tout fait le rapprochement quand j’ai reçu le RDV… La secrétaire interrompt mes pensées. Elle m’invite à entrer dans le bureau du Noble. Je m'avance et je passe la porte... La secrétaire s'efface pour me laisser entrer et je pose mon premier pied dans le fameux bureau. Le trac me prend ! Je m'avance, le bureau est immense… Enfin, je ne sais pas si ce mot est suffisant pour évoquer l’espace le plus luxueux que je n'ai jamais vu ! Un carré gigantesque. Sur la droite, il y a une espèce de salon privé, en cuir fauve autour d'une table basse en bois flotté, vernis... une espèce de tronc énorme, superbe ! Et en face, j'oserai dire, loin en face, il y a Son Bureau... un volumineux quadrilatère d'un bois luxueux et d'une épaisseur ! Derrière Son bureau, flanqué contre toute la surface du mur du fond, un immense poster, aux belles couleurs naturelles, représentant la magnifique façade et le parc verdoyant du luxueux Château des Evans que je n’ai vu que virtuellement. Cette gravure donnant à la pièce une tout autre dimension d’espace et de ...
    ... profondeur par un jeu d’optique bien étudié. On se croirait poser devant le fameux Château. D’immenses baies vitrées sur les côtés donnant une lumière naturelle à l’ensemble. Monsieur Le Marquis d'Evans est assis derrière son bureau, dans un fauteuil de cuir brun... Il lève un bras et me fait signe d'avancer vers lui, ce que je fais, bien sûr... deux fauteuils sont installés côté visiteur. Il m'en désigne un du geste : - Assis toi, Camélia, nous avons à parler
    
    Je m’assis dans le fauteuil en faisant attention de ne pas croiser les jambes devant lui. Son charisme n’avait d’égal que sa prestance et j’avoue que j’étais fort impressionnée d’être enfin en Sa présence. Il me regarda et me jaugea des pieds à la tête de haut en bas et inversement dans un parfait silence, on n’entendait aucune mouche voler ! Le simple fait qu’il me scruta ainsi provoqua en moi une réaction m’incitant à baisser la tête instinctivement. Mais aussi mon bas-ventre ressentait une forte excitation en Sa présence et commençait à s’humidifier face à cette situation. Je n’osais briser ce silence sachant que toute parole sera malvenue sans avoir reçu l’autorisation au préalable de parler. Je gardais le regard rivé au sol et ressentait, sans le voir, Son regard si profond et dominant me détailler telle une œuvre d’Art. C’est à ce moment précis, plongé dans mes pensées, qu'il décida de briser le silence :
    
    - Camélia, est-ce une façon de se tenir, avachie sur un fauteuil ?, accuse le Noble d’un ton sévère et ...