L'Auto-Ecole (2)
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Nobody_12, Source: Xstory
... débardeur à décolleté carré mettant ma poitrine généreuse en valeur et un petit blaser noir. Classique, simple et efficace. En chaussure, je portai des bottines sans de trop grands talons pour être à l’aise durant l’heure de conduite.
J’attendais donc le moniteur à l’arrêt de bus, au bord du trottoir. Il arriva pour 17h, accompagné d’un élève. C’était d’ailleurs lui qui conduisait, le moniteur étant du côté passager. Ils me klaxonnèrent et je montai. On ne dit rien le long du trajet en dehors du bonjour, comment ça va. L’élève qui conduisait rentra jusqu’à chez lui. Quand il fut parti, Manu, le moniteur, me dit de prendre place au volant. Je sortais donc de la voiture, réajustant mon short et m’installai à la place du conducteur. Je tentai de réajuster le siège, mais j’étais tellement stressée. Manu passa son bras entre mes jambes et tira la barre sous le siège. Ce dernier recula d’un cou, mes cuisses se serrant sur le bras de Manu, me faisant échapper un cri. Je devenais pivoine et Manu rit. Il me tapota l’intérieur de la cuisse et me dit de démarrer. Nous ne sommes pas allés très loin. J’ai appris à utiliser la voiture et je me suis familiarisée avec.
Arrivé à la fin de l’heure, j’étais cognitivement épuisée.
— Bon, je te ramène chez toi.
— Si ça ne vous..., enfin, te dérange pas, j’ai quelque chose de prévu chez une amie. Est-ce que tu peux me déposer là-bas ?
— Pas de soucis !
En même pas dix minutes, j’étais devant chez Philippe. J’étais si ...
... excitée... Je remerciai Manu et montai en trottinant dans l’immeuble.
Je toquai à la porte de Philippe et il m’ouvrit, me fit entrer et me débarrassa de ma veste.
J’enlevai mes chaussures et restai plantée là tandis qu’il me regardait comme un objet à acheter. Il ouvrit son pantalon et sortit sa bite molle. Je me mis à genoux, les mains dans le dos et la léchai, penchant la tête pour passer ma langue sur toute sa longueur.
— C’est bien petite chienne. La queue de ton maître t’avait manqué hein ?
Je le regardai et prenais son gland en bouche en guise de réponse. Ma langue tournait autour, je salivai dessus. Lorsque je sentais qu’il y avait trop de salive, alors j’aspirai. Sa bite durcissait dans ma bouche, déformant mes lèvres qui glissaient sur cette queue à force de saliver. Sans ménagement, il me prit la tête et se mit à me baiser la bouche. Son gland cognait parfois contre mes joues, me faisant lâcher un gémissement. Son gland allait profond dans ma bouche, cognant au fond, faisant se serrer ma gorge qui avait encore du mal à accepter cette imposante présence. Philippe adorait ça, ma gorge se serrait, je m’étouffais, ma langue raclait au-dessous de sa queue et les larmes me montaient aux yeux.
— Dis-le si c’est trop gros !
J’essayai de parler mais je m’étouffais de la bave coulant d’entre mes lèvres. On aurait pu croire que ce traitement était dégradant mais j’étais en train de mouiller, je le sentais.
Il retira sa queue dure, cette fois, et la frotta sur mon ...