1. Mes scénarios avec Marie


    Datte: 29/12/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... Marie était : liberté.
    
    Le deuxième soir eut les allures du premier. Nous avons bu des verres en écoutant de la musique et en parlant de nos envies. Ensuite, on a baisé en se racontant des choses. On a repris des verres et baisé de nouveau, toujours en parlant à voix haute.
    
    Marie avait des petits seins pointus et fermes, la peau très claire et des hanches prononcées. Loin d’être grosse, disons qu’elle avait une bonne paire de fesses. Elle s’épilait au maillot et coupait ses poils bruns très courts. Son corps me plaisait beaucoup.
    
    Mais ce qui me plaisait par-dessus tout, c’étaient les vices qui animaient cette fille. Pour moi, le mental a toujours primé sur le physique, et en cela, Marie était exemplaire. Je n’éprouvais pas l’ombre d’un sentiment pour elle. C’était réciproque. Et tant mieux. Les sentiments impliquent la plupart du temps de la jalousie, et vu ce qu’on avait décidé de faire la prochaine fois qu’on allait se voir, mieux valait ne pas être amoureux.
    
    Le projet était le suivant :
    
    Nous irions dans un bar de quartier et, tout en étant avec moi, Marie ferait en sorte d’allumer un homme qu’on choisirait ensemble parmi les clients. Elle étudierait sa tenue pour les circonstances. Elle avait sa petite idée et me ferait la surprise. Ce serait une tenue qui laisserait deviner peu à peu des parties de son corps. Une tenue légère, des positions négligées sur un tabouret de comptoir, une bonne dose d’alcool et des regards qui inciteraient au bout d’un moment ...
    ... notre proie à s’approcher de nous et à nous offrir un verre que nous accepterions. Nous nous présenterions comme un couple. Un couple très ouvert d’esprit. Et pendant que nous discuterions avec cet homme, Marie continuerait à le laisser entrevoir des extraits de son corps. Des extraits de plus en plus nets. Elle voulait que cet homme voie ses tétons, mais aussi sa culotte. Elle voulait l’allumer à mort, jusqu’au moment où on lui proposerait de poursuivre la soirée chez moi. A trois.
    
    L’absence de sentiments à l’égard de Marie faisait que j’aimais qu’elle me raconte ce qu’elle avait fait avec d’autres hommes entre deux soirées passées chez moi.
    
    Sur le dialogue en direct, elle les laissait venir à elle. Elle avait l’embarras du choix, mais elle répondait rarement à des individus âgés de moins de 40 ans. J’avais eu de la chance à ce niveau-là. Il n’était pas rare qu’elle se tape des hommes à la retraite. La différence d’âges poussait très souvent ses partenaires à s’imaginer des scénarios vicieux, dans lesquels Marie jouait le rôle d’une fille avec son père, d’une nièce avec son oncle, d’un prof avec son élève ou d’une belle-fille avec son beau-père. De nombreuses scènes qu’elle me raconta me firent terriblement bander.
    
    Je me souviens de celle-ci, par exemple :
    
    Un homme de 57 ans qui jouait le rôle de l’oncle de Marie avait proposé de lui présenter un collègue. Ils avaient bu un verre dans son salon, tous les trois, et l’oncle avait expliqué à son collègue que sa nièce et ...