Nouvelle demeure 03
Datte: 29/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... poster devant le bureau, il s'approcha de moi et me courba en avant de me pénétrer sans plus de préliminaires. Je grognais de douleur et il gloussa de me voir ainsi malmenée.
Il me prit brutalement, c'était plus un viol qu'autre chose. Et, tandis qu'il me violentait, il me parlait calmement me disant combien j'allais devoir leur dispenser de plaisir à l'avenir.
Me traitant de tous les noms, il me précisa que dorénavant j'étais la pute du bureau! Je ne pouvais que baisser la tête alors qu'il grommelait en me baisant de plus belle.
Il me baisa pendant une bonne quinzaine de minutes avant d'agripper fermement les hanches et de me pilonner trois dernières fois avant de se vider les couilles au fin fond de ma chatoune.
J'attendais qu'il extirpe sa bite de ma fente, puis je m'agenouillais et je lui nettoyais servilement la queue d'une langue habile.
- T'es-tu toujours livrée à ces actes? Me demanda-t-il amusé.
- Oui monsieur... Lui rétorquais-je misérablement.
Monsieur Taylor se releva et m'ordonna de me courber à nouveau sur le bureau, sa bite bandait à nouveau, et il voulait lui aussi goûter à mon délicieux petit con.
Monsieur Taylor avait une bonne cinquantaine d'années et était morbi-dement obèse, je ne parvenais pas à décider si je me réjouirai de le voir frappé d'une crise cardiaque.
Lorsqu'il eut joui en moi, je nettoyais sa bite ils me firent alors retourner et détaillèrent attentivement ma chatte engorgée de foutre.
Monsieur Taylor commenta ...
... alors :
- Son charmant petit con me plait beaucoup! Mais je ne crois pas qu'elle puisse se rendre aux toilettes le con dégorgeant de foutre...
Monsieur Jefferson surenchérit :
- T'as raison elle va disperser des gouttes de foutre dans tout le bu-reau!
Monsieur Taylor reprit :
- Je ne vois qu'une solution ma chérie, tu vas récupérer tout ce jus en te servant de tes doigts et les lécher!
Ils pensaient sûrement m'humilier profondément, mais ils ignoraient que j'avais avalé des litres de foutre ces trois derniers jours, ce qui de ce fait banalisait fortement leur exigence.
Je curais ma chatoune à pleins doigts et les portait à ma bouche pour les sucer l'un après l'autre à plusieurs reprises, cela les satisfit rapidement.
Je pus alors me rhabiller et retourner mon bureau.
Ils m'avaient informé que je travaillerai une heure de plus ce soir pour compenser mon quart d'heure de retard du matin ainsi que les 45 minu-tes que j'avais consacré à satisfaire leurs appétits lubriques.
J'essayais de me concentrer sur mon travail.
Après un moment je réalisais que plus je travaillais dur, plus je me concentrais sur mon ordinateur, plus le temps semblait s'écouler rapide-ment.
Pendant l'arrêt de midi, j'appelais Dave l'avertissant que je rentrai à la maison avec une heure de retard, il me demanda ce qui se passait, mais je ne pouvais pas lui répondre entourée de mes collègues qui m'écou-taient distraitement assis à leurs bureaux, je lui dis donc que je lui ...