1. Nouvelle demeure 03


    Datte: 29/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... freinait selon le tra-fic.
    
    Je remarquas que personne ne me regardait et pendant u certain temps j'aurai pu me croire seule dans ce car.
    
    Ce sentiment s'envola lorsque je sentis une main se poser sur mon mol-let, un homme assis à coté de moi me touchait les jarrets.
    
    Je pensais tout d'abord que c'était par accident, je voulus le repousser et m'écarter, mais un coup de frein brusque me fit revenir à ma place ini-tiale.
    
    Comme je restais en place, la main du voyageur assis revint sur ma jambe me caressant as vergogne.
    
    Comme je ne réagissais pas, il se fit plus audacieux.
    
    Sa main remonta le long de ma jambe, lentement, palpant mes charmes en s'excitant.
    
    Puis exactement comme les trois jeunes gens l'avaient découvert plus tôt, il se rendit compte que je ne portais pas de sous-vêtement.
    
    Sa main se pressa dans mon entre cuisse qui était légèrement écartée pour maintenir mon équilibre, il avait ainsi un accès tout à fait libre à mon intimité.
    
    Il poussa son avantage à fond et inséra prestement deux doigts dans ma féminité, et les fit coulisser allégrement.
    
    Je fis la seule chose qui m'était permise, je fermais les yeux et attendis que le chauffeur m'indiqua l'arrêt où je devais descendre.
    
    Je ne parvenais pas à comprendre qu'un acte aussi vil, aussi humiliant puisse être aussi jouissif.
    
    Si le chauffeur ne m'avait pas informé de la proximité de mon arrêt, si j'avais du attendre l'arrêt suivant, j'aurai sûrement joui sous ses profon-des caresses!
    
    Et je ...
    ... n'avais toujours pas vu son visage!
    
    Je descendis du bus et me ruais vers mon bureau tout proche.
    
    Je me demandais si on se faisait toujours molester dans les bus.
    
    Je jetais un oeil sur ma montre et réalisais que j'avais dix bonnes minu-tes de retard. Monsieur Jefferson allait disposer de la journée entière pour en profiter.
    
    Je me précipitais derrière mon bureau et vis que monsieur Jefferson me guettait, je paniquais.
    
    Je posais mon sac et, j'étais à peine assise que déjà il m'appelait par le téléphone intérieur. Je gagnais rapidement son bureau et frappais à sa porte. Il me fit signe d'entrer, il discutait avec quelqu'un au téléphone.
    
    Dès que je fus entrée, il reposa le téléphone et se leva.
    
    Je lui demandais d'excuser mon retard, je lui dis que j'avais du prendre le bus ce matin et que je n'avais pas l'habitude de ce mode de locomo-tion.
    
    Il me fixait, visiblement satisfait de ma tenue, il me demanda :
    
    - Votre voiture est en panne? Vous savez que ce n'est pas une ex-cuse valable n'est ce pas?
    
    - Non-monsieur... Répondis-je misérablement.
    
    - Dans ce cas, pourquoi avez-vous pris le bus?
    
    J'avais du mal à respirer, j'aurai voulu me trouver ailleurs, j'étais incapa-ble de lui mentir, je devais lui raconter ce qui m'était arrivé!
    
    Je grommelais cherchant désespérément comment lui explique la chose de la façon le plus neutre possible, sans lui révéler mon état de sugges-tion.
    
    Finalement je commençais :
    
    - Ma voisine m'a fait prendre le bus pour ...
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