1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1101)


    Datte: 28/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... réchauffant au soleil de septembre… Un autre homme arriva, noir de peau, à l’aspect pas commode du tout, venant dans notre direction. Les trois gars faisaient mine de s’en aller mais…
    
    - Restez ici, les toubab dit-il d’une voix tonitruante !
    
    C’est ainsi que les Noirs d’Afrique nomment les hommes blancs. Je me rendis compte que les trois gars, soit le craignaient ou en tous cas lui manifestaient de la déférence polie. Le Noir qui répondait au doux nom d’Abdou s’approcha de moi, mains posées sur ses hanches. Ses bras, tatoués, ressemblaient plus à des troncs d’arbres qu’à des bras humains… les miens à côté des siens ressemblaient à de fines allumettes… Ses cuisses devaient faire le triple, voire plus que les miennes… il faisait le tour de mon corps toujours suspendu, se saisit de l’un de mes seins qu’il broya dans sa main… puis, de l’autre, planta ses doigts entre les deux mâchoires me forçant à ouvrir la bouche…
    
    - Sorts ta langue de pute cria-t-il ! (J’obéis)… - Pas mal, belles dents !
    
    Il cessa ses attouchements, remit ses mains sur ses hanches, me fixait intensément, je le regardais, fière, quand… Une, deux trois, quatre gifles me dévissèrent la tête tant la paume de ses mains était large et la puissance qu’il avait mise dans ses gestes… Entre ses dents, comme s’il sifflait :
    
    - Baisse les yeux, ma salope, sinon…
    
    Il repartit sans un mot de plus laissant les trois gars regarder mes joues très marquées… On y voyait la marque des doigts… Abdou revint tantôt avec ...
    ... un sac, les autres hommes étaient restés sur place et se parlaient entre eux. Abdou en sortit un foulard et trois appareils que je ne vis pas très bien. Il plaça un foulard sur mes yeux et le serra très fort. Puis :
    
    - Ouvre ta gueule, salope !
    
    Tandis que j’ouvrais la bouche, il y introduisit un appareil écarteur, c’était métallique, froid, ça prenait mes mâchoires et mes joues et il vissa, vissa, l’appareil s’ouvrait entraînant ma bouche dans une ouverture qui au début me faisait mal aux articulations de la mâchoire, je geignais, ne pouvant pas parler, il vissait encore, j’avais la bouche comme démantibulée et très grande ouverte. Je bavais, tant je ne pouvais avaler à ma guise. Puis, il tira sur la barre d’écartement, appela un des gars, lui demandant de la tenir levée. Dans cette pose, j’étais un peu allongée les cuisses écartées et il introduisit dans ma chatte un écarteur, assez profondément. Là aussi, il vissait, vissait, vissait encore et au fur et à mesure, mon ouverture vaginale s’ouvrait démesurément jusqu’à la douleur mais qui me faisait mouiller grandement, je dois bien l’avouer. Il fit relâcher le gars qui tenait la barre entre ses mains et en fit de même dans l’autre sens, lui présentant mes fesses. Il demanda à un autre gars d’écarter mes fesses et fit de même qu’avec ma bouche et mon vagin, m’ouvrant le cul bien écarté jusqu’à la douleur. Enfin, reposée sur mes orteils, il retendit la corde encore plus, me faisant effleurer le sol cette fois. En fait, je ...