1. Annie et Corine


    Datte: 28/12/2019, Catégories: Mature, Lesbienne Première fois Auteur: grosbidou, Source: xHamster

    Il y a quelques mois, il m'est arrivée une aventure avec une amie et j'en garde un souvenir très vif.
    
    Annie, est mariée depuis cinq ans. Nous nous rencontrons assez régulièrement et nos sorties nous entraînent au restaurant, en boîte de nuit toujours accompagnées de son mari et d'un groupe d'amis. Physiquement, elle tendrait à être mon contraire. Petite, assez potelée, les cheveux noirs coupés très courts, elle a un visage rond et de grands yeux sombres.
    
    Un après-midi, je me trouvais en sa compagnie chez elle et nous nous étions installées sur la terrasse. Allongées côte à côte, nues, nous profitions de la chaleur que nous offrait le soleil de ce mois de juillet. Annie me proposa de me passer sur le corps de l'ambre solaire. Couchée sur le ventre, je flottais déjà dans une douce léthargie; la caresse de sa main ne fit qu'amplifier ce sentiment de plénitude.
    
    Ses doigts glissaient lentement sur mes épaules, le long de mon dos. Elle me dit que j'avais la peau très douce et que mon physique était attirant. Tout en continuant à répandre sur mon corps de la lotion, elle me demanda d'un air détaché si j'avais déjà éprouvé de l'attirance pour elle.
    
    Honnêtement, je dois bien avouer que cette femme ne m'avait jamais laissée indifférente. Plus âgée que moi d'une bonne dizaine d'années, elle dégageait une forte personnalité et physiquement elle ne me déplaisait pas du tout. Je lui avouai ce que le pensais d'elle.
    
    Sa main se trouvait à présent dans le creux de mes reins ...
    ... et ses phalanges voletaient sur me peau. Descendant plus bas, frôlant l'arrondi de mes fesses tout en épousant légèrement leur forme, j'en appréciai la délicatesse du toucher.
    
    -Imaginerais-tu pouvoir faire l'amour avec moi? Me questionna Annie.
    
    Je lui répondis que je n'avais aucune réticence à ce que l'on essaie. Enhardis par ma réponse, ces doigts se firent plus audacieux et glissèrent langoureusement dans mon entre-jambe, qui s'écarta légèrement, les acceptant dans l'exploration de mon intimité.
    
    Son doigt vagabondait le long de ma fente; déjà lubrifié par la crème solaire, il s'humidifia un peu plus lorsque je me mis à mouiller. Sa caresse était précise et adroite. Annie changea subitement de place et s'allongea derrière moi, écartant avec douceur mes jambes, me forçant à relever légèrement mon postérieure.
    
    L'effleurement de sa langue sur ma chair m'arracha un cri de surprise et de plaisir. Ma vulve palpitait, de désir et d'envie. Sa bouche s'écrasa un peu plus contre mes lèvres, sa langue écarta, se glissa un peu plus au fond, à l'entrée de mon vagin. Louvoyant ensuite dans mon repli intime, elle s'empara de mon clitoris qu'elle se mit à pomper doucement. Mon postérieure relevé était entièrement offert à sa bouche et à se doigts. J'eus à ce moment le besoin d'accentuer le contact, le désire de la sentir beaucoup plus près de moi.
    
    Je me suis levée et toutes deux nous nous somme précipitées dans sa chambre. Nos bouches se sont rencontrées enfin, sa langue me ...
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