1. COLLECTION ZONE ROUGE. La débâcle (1/1)


    Datte: 27/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    COLLECTION ZONE ROUGE. La débâcle (1/1)
    
    - Bonjour général Helmut Von Bite, heureux de vous revoir, enfin un de mes anciens clients du temps de la splendeur de mon bordel d'avant-guerre.
    
    - Grete, ton établissement est encore magnifique dans le chaos que nous connaissons.
    
    Tu te portes bien, tu es toujours plantureuse comparé à beaucoup d’autres femmes de notre pays.
    
    - Tu l’aimais bien mon cul avant-guerre, quand tu venais avec ton frère qui sert dans les Forces spéciales.
    
    - Mon frère est mort, ma belle-sœur et mes deux nièces ont disparu.
    
    Je suis passé chez lui espérant y retrouver Lotte, mais il avait un tas de ruines.
    
    J’ai peur qu’elles ne soient dessous.
    
    - Lotte, tu l’as baisée, Lotte, la femme d’Otto, te connaissant, queutard comme tu l’étais, la sautais-tu ?
    
    - Tu sais, il partait souvent dans ses camps d’entraînement de la jeunesse de notre pays.
    
    Lotte restait seule et elle s’ennuyait, pourquoi ma queue serait passée à côté de sa jolie chatte blonde ?
    
    Jamais il ne la dit, ce sera son secret à jamais, mais lorsqu’il revenait des camps, il était très fatigué.
    
    - Otto était homosexuel !
    
    - Comme tu y vas, à ses heures, petit déjà il s’habillait en fille et se maquillait comme tes putes savent très bien le faire.
    
    - Je vois le tableau, Helmut.
    
    Si j’avais su, quand vous veniez, je lui aurais trouvé de gentils mâles tous majeurs.
    
    J’avais quelques jeunes hommes qui travaillaient occasionnellement pour moi.
    
    - Je me souviens, ils ...
    ... sont tous partis au front, le dernier que j’ai revu, il était la lopette de toute sa compagnie.
    
    Ses copains le sodomisaient avant de partir en patrouille, c’était le seul trou qui était à leur disposition.
    
    - Dieter, blond, 20 à 21 ans ?
    
    - C’est ça, c’était le fils d’un garagiste près du centre de notre ville.
    
    - Lui aussi est mort, il était dans ma division, c’est dommage car il avait un joli petit cul.
    
    - Toi aussi tu ?
    
    - Oui, bisexuel, entre ton trou du cul et le sien, aucune différence à part ta cellulite que j’adorais.
    
    - C’est fini, j’ai de gentilles poulettes qui me rapportent plus surtout en nourriture ce qui nous permet de survivre.
    
    Mon bordel a la chance d’être assez hors du champ des bombardements.
    
    J’ai même pensé que les Anglais, quand ils bombardaient, nous évitaient pour venir voir mes filles quand ils nous auront envahis.
    
    - Tais-toi Grete, je veux éviter de finir devant un peloton d'exécution pour apologie de la défaite.
    
    Nous allons gagner.
    
    - À l’Est, les Russes vous bloquent et à l’Ouest, on parle d’un débarquement.
    
    - L’Est, ce sont des mensonges de nos ennemis qui font croire qu’ils nous ont arrêtés.
    
    Quant à l’Ouest, je dirige la ligne de défense de toute la côte de Normandie.
    
    Ils peuvent toujours venir, j’ai tellement de bunker tout le long de la côte et des plages, que nous saurons les recevoir.
    
    Assez parlé, si j’ai bien compris, tu me refuses ton cul, qu’as-tu à me proposer pour cette nuit, mon chauffeur m’attend ...
«123»