1. Des étoiles plein les ...


    Datte: 27/12/2019, Catégories: ff, fhh, asie, fépilée, miroir, fist, Partouze / Groupe Humour québec, Auteur: Southi, Source: Revebebe

    ... Il me bourre furieusement, m’entraînant dans un numéro bondissant de voltige érotique. La cadence de ses va-et-vient est de plus en plus rapide. Sa bite gonfle et se met à vibrer en moi. Dans un râle puissant, il se réceptionne et s’immobilise dans le filet. À la réception j’ai cru que son dard allait me transpercer.
    
    Il explose en longues giclées chaudes au fond de mon vagin. Je suis emportée dans un second orgasme encore plus violent que le premier, libérant un flot de mouille sur la verge qui me fouille. Empalée sur lui, agrippée à ses épaules, les jambes serrées autour de sa taille, le front collé à sa poitrine, je vibre et nos liquides mélangés s’écoulent de ma fente sur ses couilles et ses cuisses. Nous restons immobiles, ballottés par le doux balancement du filet. Toujours aveuglée, je sens les frissons du plaisir s’atténuer dans mon ventre et dans mes reins. Lentement son chibre se dégonfle et glisse dans un flot de mouille et de sperme vers la sortie de mon antre. J’adore cette sensation !
    
    Il me pose sur le filet m’allonge sur le ventre, caresse mes fesses et mon dos. Ses mains me frôlent, me tâtent, me palpent avec art. Après la violence de mes orgasmes, je me laisse bercer par le plaisir simple et doux de ses attouchements, de ses cajoleries.
    
    Je mets un certain temps à me rendre compte que d’autres mains se sont jointes aux deux premières. Je suis possédée, retournée, manipulée, caressée, pincée, envahie par tous ces doigts qui se promènent sur mon corps. ...
    ... Je m’abandonne langoureusement, au bon vouloir de mes amants. Mes cuisses sont écartées, je suis ouverte, offerte à leur bon vouloir. Un doigt, puis deux, puis trois s’introduisent dans mon con dégoulinant ; un autre caresse ma rosette et force son entrée avant d’être rejoint par un second. Je ne sais plus où donner de la tête car, en même temps que mes trous sont visités, mes seins sont tétés, malaxés, mes mamelons pincés, étirés. Je geins de plaisir, lance mes mains à l’aveuglette autour de moi et essaye d’attraper, de toucher, de caresser les manipulateurs.
    
    Je sens que très complaisamment on guide ma main droite vers une bite tendue. Je suis estomaquée, ma paume glisse sur le mât et je prends la mesure de l’engin. Le chibre est tellement énorme que je dois le manipuler à deux mains. Alors me revient en mémoire la manière dont Anton a appelé Francis. Priape a bien mérité son surnom et je comprends mieux l’empressement des jeunes beautés auprès de lui. Incrédule, je m’occupe comme je peux de l’animal palpitant, léchant le méat, lissant de la langue les veines qui irriguent ce tronc.
    
    Emportée par le plaisir, je suis vite au bord d’une nouvelle jouissance, quand on me saisit à nouveau. Deux mains m’agrippent les chevilles, me plient, m’écartent les jambes et m’emportent dans les airs. Je suis agenouillée, dans le vide, les cuisses bien ouvertes en appui sur ses mains, la tête adossée à la poitrine d’Anton, il m’écartèle. Je le sens me redescendre doucement vers le filet. ...
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