1. La punition d'Élodie


    Datte: 26/12/2019, Catégories: fhh, couplus, cocus, inconnu, fsoumise, hdomine, humilié(e), vengeance, contrainte, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe sm, attache, fsoumisah, Auteur: Élodie 3, Source: Revebebe

    ... nous attendait. Durant le trajet mon mari m’a demandé, en me chuchotant à l’oreille, d’ôter ma culotte. Là je n’ai pas obtempéré, je trouvais qu’il allait trop loin ! Avec une intonation espiègle il se mit alors à discuter avec le chauffeur de taxi, pour lui dire qu’il y avait de plus en plus de femmes chatteuses sur les sites érotiques… J’ai vite compris que ma punition se poursuivait et que si je ne cédais pas à son exigence il allait poursuivre son propos en dévoilant mon aventure.
    
    Je me suis donc défaite de mon tanga le plus discrètement possible. Avec ce kilt court ce ne fut pas très difficile. Le chauffeur ne s’est aperçu de rien, et mon mari m’enleva le tanga des mains tout en poursuivant la discussion avec le chauffeur par des banalités. Je me suis blottie contre lui pour lui signifier ma reconnaissance de ne pas avoir évoqué mon petit dérapage.
    
    Lorsque nous sommes arrivés à destination, après avoir réglé la course et juste au moment de quitter le véhicule, mon mari a tendu mon vêtement au chauffeur.
    
    — Je vous le confie, lui dit-il, cette salope en aura besoin cette nuit, elle vous le réclamera elle-même lors de notre retour.
    
    Je suis sortie de la voiture verte de rage et de honte, et je me suis éloignée pour ne pas entendre la suite de l’échange. J’en voulais à mon mari de pousser la punition aussi loin. Mais comme je ne pensais pas revoir ce chauffeur de taxi de sitôt, je ne fis aucun reproche à mon mari, alors que j’en avais pourtant une forte ...
    ... envie.
    
    Le taxi nous avait déposés devant l’immeuble où nous étions attendus, chez l’ami de mon mari. Je n’avais jamais entendu parler de cet homme auparavant et je l’avais encore moins rencontré. Pour moi c’était donc un parfait inconnu, et je me demandais bien où mon mari avait bien pu rencontrer cet individu, et par quel hasard ils étaient devenus familiers au point qu’il avait accepté cette invitation et qu’il m’y emmenait dans une tenue si osée.
    
    Dans l’ascenseur qui nous conduisait chez notre hôte, je me suis rendue compte que l’enchaînement des deniers événements m’avait malgré tout quelque peu excitée. En pénétrant dans cet appartement, je n’étais pourtant pas très fière, et une pointe d’angoisse me nouait la gorge. Cette angoisse s’amplifia davantage, au point de sentir mes jambes envahies d’un léger tremblement, lorsque notre hôte nous proposa de nous débarrasser et que je fus contrainte, avec regret, de me défaire de ma petite veste sur l’insistance des deux hommes
    
    Seulement vêtue de ce caraco qui me dévoilait plus qu’il ne m’habillait et de mon kilt jupette ultra-court, sans rien d’autre que mes bas et mes chaussures, j’eus le sentiment d’être livrée et qu’il y avait connivence entre ces deux hommes qui avaient dû préparer ensemble ce plan à mes dépens !
    
    Les présentations faites, j’appris que notre hôte s’appelait Bernard et qu’il avait quarante ans. C’était un homme qui au premier contact me sembla doux et cultivé. Il nous offrit une coupe de champagne et nous ...
«1234...7»