1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (4)


    Datte: 26/12/2019, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... d’adrénaline depuis samedi soir, et je suis vraiment exténué. Je prends mon portable, et regarde. C’est un message de Karim (enfin de « mon Roi », puisqu’il m’a fait mettre ça comme nom dans mon répertoire pour lui, hier soir avant le diner). Le sms : «j’ai soif, amène moi de l’eau mon petit larbin ». Je n’en reviens pas il se fout de moi. Je me lève pour aller l’engueuler, nouveau sms : « apporte l’eau dans la chambre de ta sœur ! » Et merde. Je m’exécute. J’arrive devant sa chambre et frappe. C’est Karim qui répond « entre ». J’entre, et je le trouve au-dessus de Delphine, allongée de tout son long sur le ventre et Karim qui la baisait ainsi, « la vraie position de la saillie » comme il me l’avait expliqué plus tôt dans la journée. Delphine ne faisait évidemment pas attention à moi. Karim m’a fait signe d’approcher mais c’était tout.
    
    Delphine, tout comme Isabelle avant, était magnifique sous ses assauts. Et lui, tous ses muscles bandés, le corps luisant, ferme, en action. Il finit par s’arrêter et s’asseoir sur le lit, Delphine n’a eu besoin d’aucun mot pour comprendre qu’elle devait le prendre en bouche.
    
    — L’eau.
    
    Je lui ai tendu la bouteille. Je restais là, prostré.
    
    — Merci, c’est bon.
    
    Ça voulait dire que je pouvais disposer. Je les ai laissé, non sans avoir entendu:
    
    — Je vais te prendre le cul ma belle.
    
    — Mmmm, oui, il est tout à toi mon chéri.
    
    Je tendais l’oreille depuis ma chambre, elle ne se retenait pas du tout pour hurler, je me suis dit ...
    ... que mes parents devaient forcément l’entendre. Il l’a baisée une bonne partie de la nuit, puis une pause, et rebelote au petit matin.
    
    Je m’étais levé, sans avoir beaucoup dormi, on était dans la cuisine avec mon père, on entendait Delphine hurler encore plus fort, et même quelques râles de Karim. On n’osait rien dire, on n’osait même pas se regarder. Ma mère est arrivée. Je n’osais pas lever les yeux de mon bol. Mon père a osé d’une voix timide :
    
    — Il abuse quand même, on l’héberge et...
    
    — Oh écoute Patrick t’es vraiment rabat-joie, tu n’entends pas comme ta fille a l’air heureuse. Ça devrait te rendre heureux au contraire.
    
    — Si tu le dis.
    
    Je levais finalement la tête, ma mère était en petite nuisette en soie et dentelle, la nuisette était courte, et on voyait quand même pas mal sa grosse poitrine. Ma mère fait du 100f de tour de poitrine ; ça m’a toujours fait baver évidemment. Et Karim en parle souvent. Elle s’assied avec nous.
    
    — Patrick, tu peux couper pas mal de pain, je pense qu’ils vont avoir faim.
    
    Et Karim est arrivé. Mon père coupait du pain. Ma mère s’est retournée pour le voir arriver. J’ai levé la tête. Il ne portait qu’un boxer, évidemment sacrément bien rempli. Il s’est penché sur ma mère pour lui faire la bise, j’ai eu l’impression qu’elle se collait à lui, donc sur son paquet, elle étant assise et lui debout. Ça n’a pas eu l’air de le déranger, au contraire, je l’ai vu lorgner sur le décolleté plus que généreux de ma mère.
    
    — Salut ...
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