Une autre journée idéale
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fsodo,
Humour
fantastiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... lentement, irrésistiblement, sans pitié. Je me traite de folle d’avoir voulu me faire défoncer ainsi ! Trop tard, il est en moi, planté dans mon cul, victorieux, m’asservissant, me traitant comme une moins que rien.
Pourquoi ?
Ca n’en finit pas, je sens chaque millimètre de ce gourdin s’enfouir en moi, une douleur continue, saisissante, martelant. Une première cannelure est franchie. Je me masturbe frénétiquement, mon clitoris me fait mal, lui aussi, on dirait qu’il brûle, tout comme mon anus éclaté. Il est à mi-chemin seulement, et on dirait que son sexe grossit encore et encore. C’est alors que je réalise que je ne m’oppose pas à cette intrusion, je pourrais serrer des fesses, contracter mes sphincters et pourtant, je le laisse poursuivre sa torture ardente à travers mes stries internes malmenées.
C’est fou comme il m’emplit, je me sens saturée de sa présence, je sens mon propre corps refluer vers mes entrailles, comme pour lui laisser toute la place. Ça brûle, ça me tourmente, mais je laisse faire, comme un papillon qui se grille les ailes à la flamme d’une bougie. Je suis folle d’avoir accepté mais pourtant, j’apprécie d’être prise ainsi, soumise.
Enfin, il arrive au plus profond de mes entrailles, empalé dans ma chair. Je ressens alors un grand éblouissement, une délivrance. Je l’ai entièrement en moi, il est à moi, je goûte le plaisir étrange d’être asservie, dominée, esclave d’une tige de chair fichée en moi. Mais fière de lui avoir donné cette permission, ...
... cette offrande ultime de mon corps, d’avoir bravé un interdit honteux pour sa seule jouissance.
Mais le pire est à venir, un furieux élancement traverse mon corps : il coulisse en moi, pistonne son pieu dans mes chairs, des éclairs vrillent mon regard, j’halète, je suffoque, la douleur est multiple, piquante, déchirante, la soumission est infinie, il va-et-vient en moi sans arrêt, sans répit, il me torture, je flotte ailleurs.
Pourquoi ?
Soumise, dominée, exploitée, pour son plaisir de mâle arrogant…
Et moi ?
Je ne me comprends plus, son sexe plonge en moi, me déchirant un peu plus chaque fois, il m’asservit, se sert de moi comme d’une vulgaire salope que je suis devenue à ses yeux de mâle conquérant mais pourtant je laisse faire.
Soudain quelque chose fuse en moi, un barrage cède, une vague déferlante, une douleur immense ! Non, un plaisir immense, démesuré, infini, qui m’emporte, qui me régénère, qui me rend pure, immaculée, innocente. Plaisir, douleur, si éloignés de l’autre et pourtant si proches. Avant de sombrer, je réalise que c’était tellement intense que j’avais confondu les deux. Tandis qu’il pénétrait en moi, c’était le plaisir qui me gardait soumise et offerte à son intrusion. Le désir aussi…
Un dernier spasme, un dernier tressaillement ; il peut bien rester figé, rivé au plus profond, là, dans cet endroit interdit. Prise comme une bête, je sombre, heureuse, rassasiée, tranquille et détendue.
Loin… Ailleurs… Je sombre…
J’ouvre les yeux, ...