Roman-Photo
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
volupté,
cérébral,
revede,
Masturbation
Oral
69,
ecriv_c,
Auteur: Pablo & Mariane, Source: Revebebe
... comme lui aurait dû savoir qu’une fille comme elle n’oserait jamais dire oui. Tout aurait été tellement différent… Mais maintenant il était trop tard. Lorsqu’elle s’était enfin décidée à repasser l’appartement était vide. Parti sans laisser d’adresse… Et maintenant, il l’avait sans doute oubliée comme on oublie une conquête facile.
Cette semaine-là, en ressortant du Conservatoire, elle vit une affichette placardée sur un panneau. Ça concernait une expo d’un certain photographe au nom à consonance latine à Paris dans une semaine. Ça l’intrigua. Cette affichette n’avait rien à faire à cet endroit, ce ne pouvait pas être un hasard. Rien ne prouvait que ce fût bien de Pablo qu’il s’agissait, mais elle n’hésita pas même une seconde. Elle savait maintenant qu’elle ne pouvait pas prendre le risque de passer à côté de sa chance une deuxième fois. Elle voulait tant le revoir.
(…)
Mariane avait passé une bonne heure devant sa pourtant modeste garde robe pour choisir la tenue appropriée. Le temps pressait, elle allait rater son train. Elle opta finalement pour une jupe rouge assez courte et un t-shirt noir satiné à manches longues.
Plus la capitale était proche, plus elle se sentait à la fois nerveuse et excitée. Tu es complètement folle ma pauvre fille. C’est sans doute même pas lui. Et même si c’était lui qu’est ce que tu espères ? Tu vas le trouver avec une autre pétasse à son bras, sans compter toutes celles qui vont lui tourner autour. Des nanas qui n’auront pas ...
... d’états d’âmes pour lui faire du rentre-dedans jusqu’à l’avoir dans leur lit. T’es pas faite pour ce monde, tout ce que tu vas gagner c’est de te couvrir de ridicule devant tout le monde. Mais une autre petite voix faisait revenir à son souvenir toute l’attention dont il avait fait preuve à son égard, cette lueur dans son regard, leur osmose au sujet du tableau… Ce ne pouvait pas être par hasard. Il ressentait comme elle, elle ressentait comme lui. À chaque fois qu’elle y repensait le désir renaissait entre ses cuisses. Elle se leva plusieurs fois pour aller aux toilettes, où, elle baissait sa culotte jusqu’à mi-cuisse, enduisait son pouce de son liquide parfumé et titillait son clitoris alors que son index pénétrait son vagin. Elle jouit ainsi plusieurs fois, mais elle n’en avait jamais assez. Elle imaginait que Pablo l’avait suivie et qu’il la prenait sauvagement dans les toilettes pour assouvir leurs besoins bestiaux. De nouveau assise sur son siège, il lui suffisait de croiser les jambes pour raviver la flamme de son désir.
(…)
Le photographe était entouré d’hommes et de femmes passionnés auxquels il essayait d’expliquer son travail. L’exposition était divisée en plusieurs parties, dont Automne et Femmes. Il s’efforçait de sourire à tous ces gens, mais il les trouvait sans intérêt, surtout ces critiques d’art qui avait la prétention insensée de trouver un sens à chacun des clichés, comme s’ils avaient pu lire dans son esprit, connaître la moindre parcelle de son cœur. Que ...