La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1043)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... J’entendis à nouveau les roulettes s’éloigner puis je sentis qu’il prenait la laisse et alors qu’il tirait dessus :
- A quatre pattes, à présent, je vais t’emmener pisser maintenant.
Me voilà, à quatre pattes, yeux bandés, suivant le Maître, tentant de descendre l’escalier étroit et abrupt en colimaçon, (pas évident) mais il me guidait doucement et nous voilà dehors. Les gravillons me faisaient mal aux genoux mais bon ! Je suivais tant bien que mal. Le froid me saisit et l’envie d’uriner arriva.
- Pisse maintenant.
- Comment Maître
- Comme le font les chiennes pardi, lève une patte et pisse.
J’avais tellement envie que je ne me le fis pas dire deux fois, et de longs jets d’urines fumants s’évacuaient de ma vessie. Tandis que je me secouais la jambe levée pour faire tomber les dernières gouttes. Quand Walter arriva :
- Bonsoir Walter, belle nuit !
- En effet Monsieur le Marquis
- Rien à signaler Walter ?
- Non Monsieur le Marquis, tout va bien ! Sauf qu’un esclave a cassé un vase de valeur en voulant le dépoussiérer
- Ah ? Et qu’as-tu choisi comme punition ?
- Une journée au pilori et qui voudra bien l’enculer, pourra le faire à volonté durant toute la journée de demain…
- Très bien, ça lui apprendra à faire attention …
Dur apprentissage, car je compris qu’il ne valait mieux pas fauter mais en même temps, tout basculait en moi, tout vacillait, prêt à s’écrouler. Le Maître souhaita bonne nuit à Walter, puis un coup sur la laisse fut ...
... le signal du retour. Revenus dans le bureau, la chaleur de la cheminée me donna des frissons et bizarrement, cette chaleur me fit me sentir bien. Il retira le bandeau. Mes yeux tentaient de s’habituer à la lumière, alors que je découvrais les traces sur mes seins.
- Tu as été parfaite petite chienne dit le Maître en me tapotant affectueusement les fesses.
Maintenant, je vais te faire ramener chez toi, tu as vu, cette nuit, plus de choses qu’il y a huit jours. Tu sais maintenant à quoi t’attendre, je te propose de devenir mon esclave, ma chose, complètement à moi. Je veux pouvoir disposer de ton corps à ma guise. En échange, je te dresserai comme tu n’imagines pas que je puisse le faire, mais je te promets, que tu y trouveras ton bonheur…
J’écoutais cet homme, me parler avec une telle assurance, une telle certitude que j’en restais sans voix. Toujours nue devant lui, je me trouvais curieusement bien, je ne me comprenais pas, je devenais autre, je me découvrais autre, je perdais pied. Il le sentit, s’approcha de moi, me prit dans ses bras et me dit :
- N’ai pas peur de toi, mannequin n’était pas ta place. Ta place est ici et s’asseyant, il me fit signe de venir m’asseoir à Ses pieds.
Instinctivement, je posai ma tête sur son genou et sa main très chaude caressait ma nuque et mes cheveux. J’étais heureuse, comme jamais, jusque-là je l’avais été. Puis subitement, il me fit me relever me disant :
- Je te donne jusqu’à après demain midi ? Tu vas réfléchir à ta ...