Une formation particulière (1) - Histoires de Sexe

Une formation particulière (1)

... bandait et me faisait remarquer que son sexe était plus petit, c’était à moitié vrai, il était plus long et moins épais que le mien. Je le trouvais beau son sexe, je m’en suis approché, je l’ai pris en main délicatement et dirigé vers ma bouche. Julien me laissait faire, il s’était allongé les yeux fermés. Je voulais lui rendre le plaisir qu’il venait de me donner. C’était pour moi une première, je donnais quelques baisers sur le gland avant l’introduire timidement dans ma bouche. Du liquide pré séminal sortait de son méat, le goût me plaisait. J’enfonçais doucement ce membre dur au fond de ma gorge avant de le faire ressortir. Julien accompagnait cette fellation avec de légers mouvements du bassin, il m’encourageait à aller plus vite. Dans ma bouche je sentais son sexe se durcir, il m’annonçait qu’il allait jouir. Je ne savais pas quoi faire, retirer cette queue de ma bouche ou la garder pour gouter cette semence. Surpris je laissais ce chibre au bord des lèvres, le sperme giclait dans ma bouche.

Le goût était agréable en bouche et j’avalais avec plaisir cette liqueur. Julien me félicitait sur la fellation que je venais de lui faire, que j’étais très doué et qu’il n’avait rien à m’apprendre dans ce domaine, il m’invitait à ...

... l’embrasser. Ses mains me caressaient l’entre jambes Ces félicitations, le baiser et les caresses ont eu pour effet de me faire bander à nouveau. Julien se positionnait au dessus de moi, la tête ente mes jambes pour me sucer la queue. Il m’informait que nous faisions un 69. Je sentais mon sexe gobé par cette bouche gourmande. Le plaisir était plus fort que la première fois, j’avais les fesses bien écartées et je sentais mes couilles aspirées. Il avait saisi ma queue et il la serrait très fort pour la branler. J’allais partir une seconde fois, nul besoin de l’annoncer, je savais que julien aimait mon sperme. Je me tortillais et je me cambrais lorsque ma semence giclait dans la bouche de mon partenaire. Julien aspirait et me caressait ensuite le gland avec sa langue.

Quel bonheur, c’était beaucoup mieux que de se masturber tout seul. Après nos ébats julien me demandait si j’avais aimé cette position. Je lui répondais que c’était un moment magique. Il me proposait de se revoir si je le voulais, mais là je suis sûr qu’il connaissait déjà la réponse. Nous avons convenu d’un code entre nous, pour éviter d’attirer l’attention et de rester le plus discret possible. Il allait me faire découvrir le SEXE……

Peut-être à plus tard pour d’autres récits…